Pas d'emplois à Montréal

Bonjour, nous devons être sacrement chanceux alors....
Enfin,et donc l'utilité de votre intervention se résume à....
Bonne journée

Bonjour francknathalie05,
vous êtes effectivement sacrement chanceux.
L'utilité de mon intervention sert à prévenir ceux qui pourraient croire qu'il n'y pas de pénurie d'emplois ici à Montréal.
Tu crois que parce tu as réussi à trouver un emploi que tout le monde réussi à trouver un emploi ? Tu crois que tu es la référence à laquelle il faut se comparer ?

Bonsoir
Toute immigration à ses déceptions et chercher un emploi en tant qu'immigrant est difficile. Il y a du travail ici. Reste à savoir si vous avez fait les bonnes démarches ou sollicite les bonnes personnes. Nous ne sommes pas chez nous il est donc normal de patienter et de faire nos preuves avant de tirer les mauvaises conclusions êtes vous aller au citim ou Ofqj?
Bonne chance
Et une immigration se prépare bien avant d'arriver donc vous auriez pu être mieux informée sur vos chances avant même d'y être confrontée
Marie

maxmay a écrit:

Bonjour francknathalie05,
vous êtes effectivement sacrement chanceux.
L'utilité de mon intervention sert à prévenir ceux qui pourraient croire qu'il n'y pas de pénurie d'emplois ici à Montréal.
Tu crois que parce tu as réussi à trouver un emploi que tout le monde réussi à trouver un emploi ? Tu crois que tu es la référence à laquelle il faut se comparer ?

Je n'ai absolument aucune prétention en quoique ce soit, disons simplement que si l'on ouvre les yeux, on se rend vite compte que ce n'est pas si facile que ce qui est annoncé.

Il faut peut être faire référence à un domaine pour pouvoir comparer.

De nos connaissances qui sont à MTL, ils travaillent tous, certes il font leur "trou" mais ils bossent.

Quel commentaire étrange. Il y a du travail, mais cela depend dans quel domaine.

Depuis plus de 2 ans que je lis les forums consacrés à l'immigration et considérant le fait que je suis en ressources humaines, je dirais qu'il a autant d'immigrants qui se trouvent du travail (pas toujours dans leur domaine) qu'il y en a qui ne trouvent rien et vivotent dans des petits boulots deux ans après leur arrivée. Et ils ont des doctorats, des maîtrises.

Seulement les immigrants ? Que nenni ! Beaucoup, mais beaucoup de Québécois sont bardés de diplômes et ne trouvent pas dans leur domaine. Lorsqu'on a un bac ou une maîtrise et qu'on postule pour être secrétaire, c'est qu'il y a un malaise.

D'autres s'en sortent en enchaînant les contrats : 3 mois de boulot, six mois de chômage, 10 mois de boulot, neuf mois de chômage... et pas toujours dans leur domaine non plus. C'est triste...

Je serai la dernière à dire d'un immigrant qu'il ne s'est pas préparé s'il ne trouve pas de boulot. Bien souvent, la volonté y est, la determination, mais les entrevues qui se suivent, se répètent et se terminent en queue de poisson, plein de gens connaissent ça.

Là où je travaille, si une femme n'a pas une AEC, un DEP ou un DEC en secretariat ou en bureautique, elle pourra toujours faire du remplacement par le biais d'une agence d'intérim, mais elle ne sera pas embauchée, même si elle a beaucoup d'expérience. C'est fou mais c'est comme ça !

@ Maxmay : en fait, on attire les mouches avec du miel, alors le gouvernement promet beaucoup, mais ce sont les employeurs qui embauchent et prennent les décisions, pas le gouvernement.

il faut bien se dire que le taux d'échec chez les expatriers est de 60% environs ,il y a des gens qui vont réussir et d'autre pas . Ce ne sont pas forcément les plus diplômer qui réussissent ,mais ceux qui ont la plus grande capacité d'adaptation à leur environnement .
Face à un employeur ,il faut se vendre ,de lui donner envie de d'embaucher . je pense qu'il  serais plus utile de se poser pourquoi il y a beaucoup de casse chez les expatriers ,que de reprocher à certaines personnes leurs réussites . jean  luc

jean luc1 a écrit:

il y a des gens qui vont réussir et d'autre pas . Ce ne sont pas forcément les plus diplômer qui réussissent ,mais ceux qui ont la plus grande capacité d'adaptation à leur environnement .

Ce sont les débrouillards et ceux qui ont de l'imagination qui réussissent le mieux, pas ceux qui se plaignent tout le temps.