Nouveautés sur les impôts au Portugal

Bonsoir,

En 2009 le statut de resident non habituel est resté suffisemment flou pour en rendre l'application difficile. Par ailleurs le code général des impôts qui fait référence en matière de fiscalité n'a pas intégré cette évolution.
Aujourd'hui les choses sont claires( mais complexes) sur le plan juridique et administratives.
Mais je ne peux vous repricher d'adopter la posture de Saint Thomas

Bien cordialement

JEAN PIERRE MERCI POUR VOTRE REPONSE PLUS QUE RAPIDE ,
Si j'ai bien compris je payerais toujours mes impots
en FRANCE + une autre petite partie au PORTUGAL ??
Si vous pouviez me confirmer cela par avance merci
JEAN PIERRE JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE SOIREE ...
DAVID FERREIRA

Bonsoir,

Il est impératif d'étudier les conventions de non double impositions, quand elles existent, entre le portugal et les autres pays.Elles répondent de manière précise aux questions que vouqs évoquez. Il est impératif également de vérifier les les CGI des pays.
Cordialement

Bonsoir,

Je me permets de vous conseiller de lire la convention FRANCE PORTUGAL du 14 janvier 1971 ; c'est la référence (téléchargement sur gouv.fr)
Cordialement

bidule 91, je ne connais pas votre situation fiscale et je ne peux que vous indiquer,
en fonction de la convention bilatérale signé entre la France et le Portugal, les pensions et prépensions du secteur prive sont soumises à l'impôt portugais , les revenus des biens immobiliers sis à l'étranger ont un statut différents, mais devront être déclarés au Portugal même si déjà imposé en France ( cela ne veut pas dire qu'ils seront impos és au Portugal), les revenus mobiliers, du fait que vous ne résidez plus en France n'y sont plus soumis à l'impôt français mais bien à l'impôt portugais et donc effectivement il y aura à payer au Portugal et en France.

Entièrement d'accord jefee, les conventions  bilatérale sont tout à fait claires d'ailleurs, elle sont identiques que ce soit avec la Belgique ou avec la France

Bonsoir Jean Pierre,

je suis OK avec vous les conventions sont la référence et elles passent au dessus des lois fiscales des états.
Ensuite il faut être extrêmement vigilant avec les applications, d'autant plus que le droit administratif est très particulier.
Aussi je partage vos réticences tout à fait fondées. Cependant le droit est le droit et il est impératif d'étudier les 3 voltes :
convention entre états si elle existe
code des impôts de son pays verseurs de prestations
code des impôts du pays ou l'on envisage de résider.
Aujourd'hui les possibilités offertes par le Portugal, en matière de fiscalité pour les expatriés étrangers, à condition de bien s'assurer qu'elles sont bien adaptées à son cas personnel, me semblent fiables. 
Bien cordialement

Jean Pierre

Je ne partage pas complètement ce point de vue.
OK les pensions du secteur privé sont imposables au Portugal  mais si ce pays décide de les éxonérer ,ce qui est le cas aujourd'hui à certaines conditions, c'est tout bénifice pour tout le monde car la consommation est une source de revenu plus importante que l'IR; mais c'est une autre histoire
En revanche la convention fiscale entre la france et le portugal est là pour éviter la non double imposition.
Cordialement

jefee a écrit:

Jean Pierre

Je ne partage pas complètement ce point de vue.
OK les pensions du secteur privé sont imposables au Portugal  mais si ce pays décide de les éxonérer ,ce qui est le cas aujourd'hui à certaines conditions, c'est tout bénifice pour tout le monde car la consommation est une source de revenu plus importante que l'IR; mais c'est une autre histoire
En revanche la convention fiscale entre la france et le portugal est là pour éviter la non double imposition.
Cordialement


Je n'ai jamais dis le contraire, ce que je dis comme plusieurs fois sur ce fórum, jusqu'à mars 2013, tous le monde en parlait et commentait. Or la dernière intervieuw radiophonique ( en portugais)sur ce sujet datant de mai 2013 sur une radio d'état ( antena 1) faisait parler le représentant des agences immobilières au Portugal qui indiquait qu'il n'osait plus user cette disposition comme argumente de vente. Je connais três bien le Portugal et le problème avec ce pays est que ce qui est VRAI aujourd'hui  ne l'EST PLUS demain et cela se vérifie tous les jours.
J'ai déjà lu que si un état prend une décision, il la respectera,malheureusement au Portugal, les engagements de l'Etat portugais conditionné par la TROIKA, font long feu et l'excuse est toujours la même c'est pas nous, c'est le Tribunal constitucional ou la Troika elle même.
J'ai déjà longuement écrit sur ce sujet malgré que je ne sois pas concerné, je mets gentillement en garde. QUE FAIRIEZ VOUS le jour ou l'Administration fiscale n'aplique pas ou plus cette mesure ?? , tribunaux... PLAINTE à l'UE. Ceux qui viennent s'installer dans ce pays avec la certitude qu'ils ne payerons pas d'IMPOTS et seulement pour cette raison, je leur promets bien du plaisir.
Je ne vous avise pas pour vous décourager, mais dites vous bien que je parle par expérience propre, l'administration portugaise est tout sauf de confiance et vous aurez beau brandir les conventions fiscales  les décrets de loi, etc....

Bonsoir Jean Pierre,

Vous ne me découragez  en rien;
En revanche si je vous comprends bien on rencontre les mêmes difficultés dans ce pays que dans d'autres. Heureusement sinon les tribunaux administratifs ne seraient plus utiles.
Cependant l'article 81 du CGI est très clair depuis le 1er Janvier 2013(ce qui n'était pas du tout le cas avant). C'est tout de même la référence pour le fisc. ( a condition de bien vérifier que l'on répond  bien à toutes les exigences).
Maintenant vous avez raison la jurisprudence est essentielle et il est encore trop tôt pour juger de la bonne application.
Cordialement

Bonjour, je suis en pleine exploration pour venir fin 2013 de France pour passer ma retraite à Porto, et vous écrivez que la convention fiscale dispensant les retraités du privé n'est pas appliquée?
Avez-vous la possibilité de vérifier ce qui se passera en 2014?
Merci pour les bonnes infos que vous diffusez.
Cordialement.

cŽest du courage et de la determination ! :)

oudeille a écrit:

Bonjour, je suis en pleine exploration pour venir fin 2013 de France pour passer ma retraite à Porto, et vous écrivez que la convention fiscale dispensant les retraités du privé n'est pas appliquée?
Avez-vous la possibilité de vérifier ce qui se passera en 2014?
Merci pour les bonnes infos que vous diffusez.
Cordialement.


Malheureusement, NON et c'est tout le problème puisque je répète que la directive de 2009, n'a jamais été appliquée par l'administration fiscale et que même si la nouvelle directive    de 2012 est intégrée dans le code des impôts, il suffirait que par exemple , le pays qui vous paye votre pension porte plainte contre le Portugal pour que cette disposition ne s'applique pas ou plus. N'oublions pas que effectivement chaque pays applique SES règles fiscales en vertu des conventions bilatèrales, mais n'oubliez pas que le Portugal fait partie de la ZONE EURO , est sous ASSISTANCE financière ( FMI, BCE,UE) avec une dette qu'il est impossible de payer sauf à croire une croissance de 4% l'an.

Si , je m'expatrie à MONACO, comme citoyen BELGE, je sais à quoi m'en tenir, vous comme citoyen FRANÇAIS, non.

Iriez vous investir à Chypre par exemple qui a failli taxé les dépôts de - de 100.000 euros, mais sous la contrainte l'a finalement fait pour les + de 100.000 jusqu'à 60 %

Iriez vous investir en Grèce , avec des confrontations violentes et au bord du précipice même si ce pays pratiquerait la même politique fiscale

Si vous venez au Portugal sur LE SEUL CRITERE, de non payement d'impôts, passez votre chemin, sinon votre rêve de retraité heureux au soleil et ne payant pas d'impôts se transformera vite en cauchemar. C'est comme cela que vous voulez vivre votre retraite. POUR MA PART, NON .JE n'ai AUCUN bien au Portugal et JE ME GUARDERAI bien d'en acquérir.

BREF, IMPOSSIBLE de vous dire ce qui se passera en 2014 et au delà.

Enfin guardez en tête que le Portugal est le seul Pays qui a dû faire appel TROIS FOIS au FMI.

Bonjour

Je me permets d intervenir afin d essayer de clarifier la situation concernant l imposition (ou plutot l exoneration de l impot) sur le revenu des pensions au Portugal.

J ai lu les differents avis (surtout de JeanPierreHonda qui semble tres au courant) et je crois comprendre que:
-la loi sur la non imposition daterait de 2009?
-elle n aurait jamais ete appliquee?
-il y aurait un decret d application d aout 2012 avec effet 1/1/2013 ?

En meme temps, JPH dit que cela n a jamais ete appliqué et, surtout, que cela ne le sera pas.

Pour le passé, etant donné que c est pour l annee fiscale 2013, il est normal que cela ne soit pas encore appliqué, ce le sera en 2014, au moment des declarations des revenus 2013.
Pour le futur, qui peut savoir ce qu il sera?

Si quelqu un pouvait me dire si je raisonne juste ou faux?
A+
YV

Effectivement une disposition de loi datant de 2009 et visant l'exonération fiscale partielle, n'a jamis été appliquée par l'administration fiscale.
1. Une nouvelle disposition prenant court le 1.1. 2014 et non pas 2013 est entrée en vigueur.
Je n'ai JAMAIS dis qu'elle ne SERA PAS appliquée.

JE ME TUE A REPETER qu'elle existe dans le code des impôts,
comme existait la disposition de 2009.
SIMPLEMENT,JE VOUS METS EN GUARDE, si vous venez au Portugal UNIQUEMENT SUR CE CRITERE et surtout SVP relisez mes messages sur ce sujet, je ne sais PLUS comment être PLUS CLAIR

Bien sur, JeanPierre, venir au Portugal uniquement pour le coté fiscal, ne serait sans doute pas raisonnable.
Mais avouez quand meme que cela peut avoir son importance, au moins pdt les 10 annees d exoneration, si toutefois l administration portugaise l applique un jour.
D ailleurs, comment savoir de facon certaine ce qu il en est?
A qui s adresser?
Et comment avoir des garanties, dans un sens comme ds l autre?
A+
YV

Ce que je trouve surprenant, est que ce sois les français qui sont les MOINS taxés sur leur pension en Europe qui soient les plus interesses par cette disposition que je n'ose plus qualifier, alors que sur les forums qui ne sont pas en langue française, rien ou três peu.

Cette dispostion pourrait être interessante pour les riches investisseurs, sincérement prendre tous ces risques pour éviter de payer 1000 ou 2000 euros il y a de quoi ce poser des questions

D'ailleurs, un de nos membres ne bénéficiant pas de cette dispostion pensent retourner en France puisque qu'il paye 5x plus d'impõts au Portugal qu'en France.

Donc que chacun pese le pour et le contre, pour ma part , j'ai mis 20 ans avant de me préparer, décider les avantages et inconvenients qui ne sont pas négigables, soins de santé, climat social, langue, culture differente par rapport au NORD de l'Europe, corruption , pauvreté extreme, fiabilité des administration, etc
Il est vrai que ce pays AVAIT, beaucoup d'avantages, mais vous êtes vous demandés pourquoi un pays prendrais une disposition qui le mets au niveau de MONACO au niveau fiscal sons aucune contrepartie.
Celui qui vit tous les jours la souffrance du peuple portugais aura compris

Tout en prenant en compte l'expérience de Jean-Pierre, je rejoins le pragmatisme de Yv92.Les nouvelles dispositions  d'exemption du Portugal pour les retraités non habituellement résidents doivent en principe, courir à partir de l'exercice 2013.
Donc nous devrions prochainement savoir précisément ce qu'il en est auprès de nos "collègues" qui ont fait ce choix; à nous de les identifier et de recueillir leur témoignage.
@+

Cher Jean-Pierre, je ne sais pas si comme vous le dites, les retraités Français sont les moins taxés, en revanche je vous assure que pour les retraités bénéficiant d'une bonne pension, le % devient assez rapidement confiscatoire avec la progressivité de l'impôt et la suppression annoncée de la plupart des avantages précédents.
L'enjeu fiscal, pour certains est un critère majeur quand il s'agit de plus de 20k€/an d'IR qui peuvent être 0€ au Portugal.
voir l'article de Challenges:
"L'objectif du Portugal est clair. Ce pays en quête d'argent frais veut attirer les retraités étrangers riches, à la recherche de cieux plus attrayants sur le plan météorologique que leur pays d'origine mais surtout fiscalement plus cléments. Et pour ce faire, il est prêt à leur accorder un régime à zéro impôt"
http://goo.gl/flA5C3http://goo.gl/raA9CX
Cordialement

Bonsoir,
Bonsoir à tous

Je partage complètement le point de vue d'Oudeille
La taxation des retraités français a beaucoup évolué depuis 3 ans ( impôts, taxes imposables, suppression d'avantages,...)
L'objectif du portugal est de faire mieux que le Maroc qui ne se plaint pas d'avoir de nombreux retraites qui peuvent aisément gagner plus que 10 fois le SMIC local et avoir des avantages fiscaux importants.

Jean Pierre je comprends tout à fait vos mises en garde concernant les lourdeurs administratives : elles sont justifiées.Mais est ce plus simple ailleurs?
Cependant ces mesures sont prises avec accord des instances européennes et du FMI dans le cadre du plan de restructuration.
L'étude consolidée des documents officiels français et Portugais permet tout de même de se faire une idée et de comprendre ce qui a réellement changé depuis le 1er Janvier 2013.
Des difficultés administratives subsistent mais elles sont moins importantes et mieux identifiées qu'en 2009. Elles concernent essentiellement la justification du statut de non résident habituel.

Cordialement

pour oudeille, exercice 2014, revenus 2013 nous sommes d'accord.

Pour jefee, je vous crois sur parole mais où avez vous lû officiellement que ces mesures ont été prises avec les instances européenes et le FMI.
Cet argument que je connais bien, je l'ai lû sur publication française comme " maison du Portugal", vivre au Portugal, et d'autres. par contre parlant parfaitement le portugais, je ne trouve aucun texte officiel citant cet accord.Merci pour le citer, je me ferai un plaisir de le traduire.

Enfin, tant mieux si cette disposition s'applique , je vous donne simplement mon expérience du respect des lois dans ce pays.

Existe t'il en France une loi qui pourrrait déclarer RETROACTIVEMENT, une diminution des pensions de l'état et réclamer la différence aux pensionnés ???

Existe t'il en France une loi qui pourrait déclarer RETROACTIVEMENT, l'abolition ou la diminution des pensions de survie pour tous les pensionnés??

La pension et la pension de survie est aussi un contrat passé entre l'Etat portugais et ses citoyens et pour lequel les pensionnés ont contribués.

Au Portugal, c'est permis

Pensez vous que dans une situation critique, l'ETAT Portugais ne pourrait pas RETROACTIVEMENT  éliminer la notion de resident non habituel ??

Voilà des réflexions qui mérite pondération.


EN TOUS LES CAS, chacun est libre de sa décision et je vous souhaite bienvenue au Portugal

Jean-Pierre, merci pour ces éléments de réflexion liés à votre expérience.
Mais c'est quand même un peu anxiogène d'imaginer un état qui rétro-activerait ses lois, cad un état qui n'aurait pas de parole?
Avez-vous dans vos relations des arrivants qui ont demandé et obtenu ce statut de résident non habituel, pensionné du privé?
Si oui quand peut-on espérer voir leur situation validée et à compter de quelle date?
Ou à minima est-ce qu'il existerait des réponses individuelles écrites par l'administration à ce sujet?
Cordialement.

oudeille a écrit:

Jean-Pierre, merci pour ces éléments de réflexion liés à votre expérience.
Mais c'est quand même un peu anxiogène d'imaginer un état qui rétro-activerait ses lois, cad un état qui n'aurait pas de parole?
Avez-vous dans vos relations des arrivants qui ont demandé et obtenu ce statut de résident non habituel, pensionné du privé?
Si oui quand peut-on espérer voir leur situation validée et à compter de quelle date?
Ou à minima est-ce qu'il existerait des réponses individuelles écrites par l'administration à ce sujet?
Cordialement.


Bonsoir oudeille,  en effet c'est inquiétant, mais pas étonnant depuis l'intervention de la troika.
Je m'explique l'état portugais est dirigé par un gouvernement de technocrates qui suit aveuglement d'autres technocrates de la Troika et naviguant toujours à vue en fonction des deficits successifs et l'année 2014 sera encore pire au niveau des mesures fiscales que toutes celles prise jusqu'à présent, c'est notre premier ministre qui l'a annoncé.

Non des nouveaux arrivants , aucun ne c'est manifesté sauf peut être un membre qui avait obtenu le formulaire L sur internet . Par contre de nombreux reportages au Portugal, ont montrés dans quelles situations dramatiques se sont retrouvés, les  residents non habituels de 2009.

C'est pour cette raison que je me bats, sans aucun intérêt personnel, pour cette injustice et je precise je n'en fais pas partie.

Ce qui s'est passé en 2009 est un exemple flagrant de personnes ayant rempli des démarches beaucoup plus dures et complexes que  le statut actuel et qui malgré tout ont dû payé leurs impôts , ont attendus leur note de crédit de l'administration et voilà qu'en 2012 leur sort est cellés, la loi de 2012 n'est pas pour une fois retroacative ( bien sûr) et n'ont plus aucune chance d'être remboursés

Je crois avoir répondu à la dernière partie de votre message en ajoutant que les residentes non habituels devront prendre contact avec le centre des impôts du lieu d'habitation afin d'examiner éventuellement l'engagement d'une procédure  devant une commission qui devra éventuellemt être crée dans un temps indeterminé etc..

Vous savez il existe une expression ici qui dit le Portugal, Floride de l'Europe à quoi réponde les portugais, la republique des b...... de l'Europe  sans offence de ma part et dont je ne partage pas du tout ce jugement

Cher Jean Pierre

Aujourd'hui des retraités qui s'installent au Portugal exposent une situation tout à fait différente dans des émissions de TV.
Mais je vous l'accorde on peut douter de tout

Cependant,  ne me demandez  pas de mettre en doute la rectitude de l'état portugais, même si  je ne conteste pas l'existence de lourdeurs administratives et de lois rétroactives; il en existe ailleurs

On rencontre les mêmes problèmes dans d'autres pays attractifs et encore plus pauvres; Il est essentiel de connaître parfaitement la législation  et son application.

Mais je vous rejoins tout à fait. On ne choisit pas une autre culture uniquement pour des raisons fiscales.

Cordialement

Cher jefee, je suppose que les pensionnés qui passent á la TV , ont acheté un bien immobilier et que le vendeur devant la caméra lui jure qu'il sera exonéré d'impôts, parce que je vous signale que le non payement des impôts se vérifiquera en 2014. Si vous me parlez de rectitude de l'état portugais, je vous ai cité 2 exemples autres autres.

Mais , ne me suivez pas dans ma réflexion, chacun analysera comme il l'entendera, je vous répète que je n'ai aucun intérêt á mettre en doute toutes les publications y compris le code des impôts.

Pour ma part , je vous aurai mis en guarde, mais je ne suis qu'un realiste à qui on a appris qu'il existe deux certitudes dans l'existence . la mort et les impôts

j'aime bien la conclusion de Jean-Pierre!

Bonsoir Jean Pierre et Oudeille

La vie est bien triste pour vous
je n'ai jamais parlé d'achat immobilier qui pour moi est  un risque majeur en cas d'expatriation.
Malheureusement c'est un piège dans lequel quelques un tombent, j'en conviens.

J'ai un peu de mal à comprendre que vous puissiez vivre dans un pays que vous dénigrez autant.

Cordialement

Ce qui s'est passé en 2009 est un exemple flagrant de personnes ayant rempli des démarches beaucoup plus dures et complexes que  le statut actuel et qui malgré tout ont dû payé leurs impôts , ont attendus leur note de crédit de l'administration et voilà qu'en 2012 leur sort est cellés, la loi de 2012 n'est pas pour une fois retroacative ( bien sûr) et n'ont plus aucune chance d'être remboursés

Je crois avoir répondu à la dernière partie de votre message en ajoutant que les residentes non habituels devront prendre contact avec le centre des impôts du lieu d'habitation afin d'examiner éventuellement l'engagement d'une procédure  devant une commission qui devra éventuellemt être crée dans un temps indeterminé etc..

Vous savez il existe une expression ici qui dit le Portugal, Floride de l'Europe à quoi réponde les portugais, la republique des b...... de l'Europe  sans offence de ma part et dont je ne partage pas du tout ce jugement


Vos affirmations non consolidées sont éloignées de la réalité
Je ne comprends pas vos motivations
CORDIALEMENT

Vos affirmations non consolidées donnent une image négative de la réalité
Je ne comprends pas vos motivations
Pourquoi vivez vous dans ce pays?
CORDIALEMENT

bonjour
merci pour vos explications sur les impots au portugal, donc si on habite plus de 183 jours au portugal on paie des impots donc publicité mensongère à la télé française, et combien doit ton payer? merci à l'avance de votre réponse

cdlt
hairses

Chers membres,

Petit rappel, nous sommes sur un forum d'échange et d'entraide. Il serait bien de discuter sans polémiquer ou de s'engager dans des attaques personnelles.

Je vous invite à rester dans cet esprit d'entraide svp

Merci

Maximilien
Expat-blog Team.

On peut sans être accusé de dénigrement dire objectivement que les pays lusophones sont des cauchemars administratifs (j'en connais trois, donc je sais un peu de quoi je parle) tout comme ils sont des pays "d'incertitude législative" (très longs délais entre les annonces de loi et les décrets d'application - à supposer qu'elles fussent votées).
Quand on ajoute le fait que le Portugal est sous tutelle (JP l'a signalé) et de ce fait n'est pas décisionnaire, ça rajoute à l'incertitude. Ou alors, on n'a pas le droit d'écrire que le handicap du Sahara est la sécheresse, de l'Alaska est le froid... :rolleyes::)
Bis repetita, il y a une infinité de très bonnes raisons de s'expatrier au Portugal mais, persiste et signe, la raison fiscale est encore incertaine et toute personne qui ferait le grand saut pour ce seul motif en achetant là-bas prend pour le moment (à mon avis) un risque significatif. En louant c'est plus jouable, car facilement réversible.
Je serai le premier à réviser mon point de vue dans un an si ça se confirme, signalant que dans mon cas - pensionné du secteur public - la situation serait identique: je serai toujours imposé en France: donc, pas concerné, je suis objectif.
En rappelant - et c'est valable dans tous les pays du monde - que ce qu'une loi a fait, une autre loi peut le défaire. En matière de fiscalité, il n'y a jamais de sécurité totale, où que ce soit dans le monde!

hairses a écrit:

bonjour
merci pour vos explications sur les impots au portugal, donc si on habite plus de 183 jours au portugal on paie des impots donc publicité mensongère à la télé française, et combien doit ton payer? merci à l'avance de votre réponse

cdlt
hairses


Vous pouvez les calculer avec ce simulateur:
http://www.online24.pt/simulador-irs/

Merci Zwiki pour rappeler ce lien , il faudra tempérer, le calcul brut, qui ne tient pas des dépenses de santé, ni des dépenses de location éventuelle avec plafond bien entendu. Mais en gros , le calcul de la simulation est proche de l'impôt à payer pour un rendement MOYEN. Un petite remarque :cette simulation est valable aussi pour les pensionnés, puisque il n'existe plus de déduction forfaitaire différente par rapport aux personnes actives

Quand on posséde 500000€ on ne le clame passur un site.
Si on posséde vraiment des biens on le taît ou on se met en société afin de laisser des actions et non un héritage.

On fait, de même, dans son pays d'origine et les revenus sont soit versés en sci soit en  S..A.dans son propre pays.


Qui ici s'est vanté de posséder 500.000 euros? Pas moi en tout cas (et je serais un fichu menteur!)  :)
Pour le reste, l'emploi d'un capital qu'on possèderait, je suis plutôt d'accord avec vous, mais c'est affaire de choix individuel.

Peut-être du nouveau en perspective, mais ça va prendre du temps, quand Baroso doit-il rentrer au pays?
La Troïka menace d'imploser PAR LUDOVIC LAMANT Source MEDIAPART : ARTICLE PUBLIÉ LE SAMEDI 12 OCTOBRE 2013. Les « hommes en noir » de la Troïka sont en instance de divorce. Trois ans après sa création, hors de tout cadre juridique prévu par les traités européens, cet organe à trois têtes, censé piloter les programmes de réforme des pays menacés de faillite au sein de la zone euro, est parcouru de vives tensions. À tel point qu'à Bruxelles, le débat sur l'après-Troïka est lancé. Les signes se multiplient d'un délitement de cette structure  contestée,  qui  rassemble  des  experts  de la commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI). « La configuration (de la Troïka), qui a été décidée en temps de crise, est un peu étrange. Il faut la changer », avait ainsi reconnu en mai dernier Jörg Asmussen, membre du directoire de la BCE. De son côté, la Luxembourgeoise Viviane Reding, vice-présidente de la commission, avait jugé, en juillet,  que  «  la  Troïka  a  fait  son  temps  ».  Celle qui prétend  à  la  présidence  de  l'exécutif  européen l'an prochain, a ouvertement plaidé pour un scénario sans  le  FMI  :  «  Faire  appel  au  FMI,  comme  ce fut le cas ces dernières années, était une solution de crise. À l'avenir, nous Européens devons-nous montrer capables de résoudre nos problèmes par nous-mêmes. » José Manuel Barroso, le patron de la commission, avait lui-même laissé entendre, en juin, que les institutions européennes pouvaient désormais se débrouiller seules, en cas de nouveau plan d'aide.Mise sur pied à l'occasion du « sauvetage » de la Grèce en mai 2010, l'impopulaire Troïka travaille aujourd'hui avec les gouvernements de trois autres États membres de la zone euro : le Portugal, l'Irlande et Chypre. C'est elle qui établit la liste des économies, réformes structurelles et autres privatisations qu'un pays doit s'engager à réaliser, s'il veut obtenir, en l'échange, un mégaprêt pour lui éviter le défaut. Le FMI fournit également des conseils aux Européens sur la réforme du secteur bancaire espagnol. En trois ans, cette structure au fonctionnement opaque est devenue le symbole d'une gestion autoritaire de la crise, où des capitales de la zone euro se trouvent mises au pied du mur, contraintes pour éviter la faillite à réaliser des réformes rejetées par bon nombre de citoyens. « La Troïka doit être démantelée, ces gens sont complètement hors sol, hors réalité. Qui rend des comptes là-dedans ? »s'était emportée, en juin, Isabelle Durant, une eurodéputée belge du groupe des Verts, qui avait résumé l'agacement de bon nombre de citoyens. « Une créature politique non identifiée, pour ne pas dire un monstre », tranche Sylvie Goulard, une élue libérale du Parlement. En toute logique, cette Troïka se dissoudra quand les plans d'aide (les bail-out) seront arrivés à terme. Par exemple à l'horizon 2016 pour Chypre, si l'on en croit les échéances officielles. Problème : sur le terrain, l'embellie semble encore fragile (Irlande), voire carrément inexistante (Grèce). D'autres méga prêts pourraient donc être nécessaires et faire durer le supplice. Les Européens et le FMI devraient discuter, cette fin de semaine à Washington, d'une nouvelle enveloppe d'aide à la Grèce.Sans  surprise,  du  côté  des  services  d'Olli  Rehn à  Bruxelles,  on  minimise  l'ampleur  des  frictions.« Aucune de ces situations (dans les pays aidés – ndlr) n'est simple, mais c'est pour cela qu'il est plus important  que  jamais  que  nous  puissions  compter sur l'expertise combinée et complémentaire des trois institutions », a expliqué le commissaire Rehn, chargé des affaires économiques au sein de l'exécutif de Barroso. Et de repousser à plus tard l'irrésistible débat sur l'après-Troïka : « Nous devrons certainement explorer  des  manières  d'améliorer  la  gouvernance de la zone euro, y compris dans la gestion des mécanismes de crise. » Si Bruxelles n'ose pas avancer franchement sur ce dossier, c'est avant tout parce que les États membres, l'Allemagne en tête, n'ont pas envie d'ouvrir la boîte de Pandore. Car remplacer la Troïka reviendrait sans doute à donner davantage de pouvoirs encore à la commission européenne, pour la transformer un peu plus en un « fonds monétaire européen » – un scénario pas forcément plus populaire aux yeux de nombre de citoyens sur le continent…Pourtant, la tension enfle de tous côtés. Principale explication : le malaise croissant du FMI, qui cherche à limiter la casse et ne pas perdre ce qui lui reste de légitimité dans la gestion de crise. Au printemps 2010,  c'est  Berlin  surtout  qui  avait  poussé  pour que l'institution de Washington, alors dirigée par Dominique Strauss-Kahn, intervienne. C'est même l'une des conditions fixées par le parlement allemand, le Bundestag, pour valider chaque plan d'aide qui se présente : il faut que le FMI s'implique lui aussi.Mais le FMI est en désaccord avec la manière dont la  crise  est  gérée,  et  tient  désormais  à  le  faire savoir. Son rapport publié en juin a fait l'effet d'une bombe : l'institution y critique le plan de sauvetage négocié en 2010 pour la Grèce, expliquant qu'à ses yeux, il aurait mieux fallu « adoucir » la politique d'austérité, en pratiquant un effacement partiel des dettes  publiques  –  scénario  exclu,  à  l'époque,  par Paris et Berlin (lire l'article de Martine Orange). Le texte, où beaucoup ont cru déceler l'influence du nouveau directeur Europe du FMI, le Britannique Reza Moghadam, dénonce à mots à peine couverts la  gestion  de  la  commission  européenne.  Ce  qui avait obligé Olli Rehn, le commissaire aux affaires économiques, à répliquer : « Que le FMI se lave les mains et fasse peser toute la responsabilité sur les épaules de l'Europe, est injuste. »La commission piégée ? Autre pièce à conviction : le Wall Street Journala fait état la semaine dernière de documents internes au FMI, qui prouvent qu'en ce mois décisif de mai 2010, plus de 40 États membres du Fonds, tous non européens, s'étaient opposés au plan d'aide tel qu'il avait été conçu pour Athènes. Des représentants de l'Australie, de la Russie ou de l'Argentine, avaient alors  mis  en  garde  contre  d'«  immenses  risques»  encourus,  si  l'on  en  croit  le  compte-rendu  des débats. Un officiel brésilien s'était, lui, inquiété d'un programme « mal conçu et insoutenable en dernier ressort ». Ces prises de position n'avaient pas empêché Dominique Strauss-Kahn d'expliquer aux journalistes, dans la foulée de l'accord, que le Fonds n'avait « aucun doute » sur le fait que ce « bail-out » allait marcher. Aujourd'hui, les membres non Européens du FMI ne décolèrent pas contre cette erreur de diagnostic de 2010, et critiquent le « favoritisme » du Fonds à l'égard des pays européens. « Le Fonds se trouve aujourd'hui exposé à un risque excessif en Europe : c'est pour cela qu'il veut se désengager», résume Costas Lapavitsas, un économiste grec basé à Londres, dans un entretien au quotidien El País. Pas moins de 56 % des prêts aujourd'hui accordés par le FMI profitent à des pays de l'Union. « Le fait que les décisions portant sur des programmes d'ajustement qui impliquent le FMI soient prises, vraisemblablement, à Berlin, Francfort ou Bruxelles, devrait horrifier les membres de l'institution », commente Ousmène Mandeng, un ancien responsable du Fonds. « C'est quasiment la première fois que le FMI se trouve influencé à ce point par ses plus grands actionnaires. » Mais côté européen, Angela Merkel rechigne toujours autant à expliquer aux citoyens allemands qu'une partie des prêts débloqués à Athènes ne seront finalement pas remboursés. Interrogée  en  juin  sur  le  sujet,  Christine  Lagarde a  tenté  de  calmer  le  jeu  :  «  Les  membres  de  la Troïka ont eu une relation très solide et productive au cours des trois dernières années », a-t-elle affirmé, vantant le caractère « novateur » de l'aventure. Mais personne  n'est  dupe.  La  gestion  calamiteuse  de  la crise chypriote, en début d'année, a laissé des traces indélébiles. Le FMI a choisi de participer à hauteur de 10 % seulement du volume d'aide global débloqué pour Chypre – contre un tiers lors des « bail-out » précédents. Le désengagement du FMI de la crise de la zone euro est déjà en cours. Dans une moindre mesure, la BCE a elle aussi pris ses distances avec la gestion au jour le jour de la Troïka. Au sein du conseil des gouverneurs, à Francfort, ils sont de plus en plus nombreux à craindre pour la sacro-sainte indépendance de l'institution. « La BCE n'accepte pas l'interférence des gouvernements. Mais son indépendance devrait fonctionner dans les deux sens : cela signifie également que la BCE s'abstienne d'intervenir dans les décisions très politiques, avec des conseils portant sur les impôts ou les coupes dans les dépenses. Et c'est pourtant ce qu'elle fait au sein de la Troïka : elle doit en partir le plus vite possible », juge Paul De Grauwe, un économiste belge, professeur à la London School of Economics. À la tête de la BCE, Mario Draghi avait tenté de désamorcer la polémique au mois de mars : « Gardez à l'esprit que nous ne signons pas le mémorandum»,  ce  cahier  des  charges  signé  entre  Bruxelles  et les capitales menacées de faillite, qui établit la liste des réformes à effectuer. Devant des eurodéputés qui l'interrogeaient fin septembre à Bruxelles, Draghi a tenté de minimiser un peu plus le rôle de la BCE au sein de la Troïka. Il ne s'agirait de rien d'autre qu'un travail de simple conseiller, « en liaison avec la commission », pour fournir une « expertise technique». De là à dire que la BCE conseille, depuis l'extérieur, la Troïka, il n'y a qu'un pas…Alors que le FMI et la BCE tentent de sauver la face devant le fiasco annoncé, il ne reste plus que la commission européenne, stoïque dans la tempête, à assumer le bilan – calamiteux – de trois années de Troïka. À l'approche des élections européennes, José Manuel Barroso, si prompt à s'inquiéter de la montée des « populismes » sur le continent, s'est-il rendu compte de l'opération ? Son collègue Olli Rehn, lui, n'a pas l'air gêné : le Finlandais a exprimé en août son envie de se présenter aux élections comme possible chef de file européen des libéraux.

Bonjour

Si la distribution de dividendes (dans le cas d'un régime impot société) fait l'objet d'une retenue à la source, ce qui est le cas, il ,'y aura pas d'imposition au Portugal.

bonjour
je pense aussi venir au Portugal , je suis retraitée vit seule , et ne me rends pas bien compte du cout d ela vie pour une personne seule

au niveau des impôts je suis un peu perdu dans ce qui est public ou privé, je touche un peu des deux
alors l ai la carsat ( de la SS) 703€) mensuel

l apicil appelé aussi l agir, j'ai  1035€ par trimestre

je crois que cela s est du prive
et l ircantec je crois complémentaire du public de 248 € par mois
depuis que j ai inrcantec je deviens imposable en théorie pour 50€

voilà une moyenne de 1000€ mensuel
donc si je viens au Portugal ce n'est pas pour payer moins d impôts mais il ne faudrait quand même pas que ce soit le contraire, c est à dire que je devienne plus imposable si je vis au Portugal qu en France
merci beaucoup de me répondre

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