Expatriation brésil

Mon mari et moi souhaitons nous expatrier au brésil mais j avou que en lisant les différents sujets ça m'a l'air limite mission impossible lol
En effet, étant encore jeune et sans enfants , nous souhaitons tenter l 'aventure lui étant dans la finance et moi dans le secrétariat.Lui se débrouille en portugais et bilingue anglais  moi suis bilingue portugais et anglais mais je me demande si il y à encore de la place pour les français laba.
Pensez-vous que nous devrions pas tenter le diable lool
Car nous avons des économies mais pas pour y rester indéfiniment sans travailler.
Merci de vos réponses

Comme vous n'aurez pas de visa permanent...

Le visa je peux géré j'ai un contact à l'ambassade du brésil pour qui j'ai déja travaillé ici à paris c'est plutôt pour l'emploi au brésil

JENNYCV a écrit:

Le visa je peux géré j'ai un contact à l'ambassade du brésil pour qui j'ai déja travaillé ici à paris c'est plutôt pour l'emploi au brésil


Eh bien bonne chance mais comme ces visas sont donnés sur des critères précis, je pense que ces contacts ne te permettront que d'être sûre que le dossier ne sera ni égaré ni retardé (c'est déjà énorme). Le consulat (pas l'ambassade, même si les locaux sont partagés: services totalement différents) ne fait que transmettre les dossiers aux services d'immigration et/ou la police fédérale, il n'a pas de valeur décisionnaire.

Attention, la plupart des Brésiliens ne disent jamais non, c'est culturel chez eux. "Tout va s'arranger... mais tarde" (plus tard).

On s'épuise en attente jusqu'à ce qu'on finisse par comprendre...

Pour le reste, il restera à trouver un emploi bien payé au Brésil. Je rappelle que le salaire minimum est de 250 euros, environ, avec un coût de la vie qui se rapproche de plus en plus de celui qu'on a en France. Même avec três ou quatros salarios, sauf à vivre dans une favela, c'est dur de vivre décemment.

Je vous conseille plutôt de chercher une expatriation, si vous arrivez à vous "vendre" à une entreprise qui a des filiales au Brésil.

Le Brésil a envoyé des signaux très clairs à la vieille Europe: les vannes de l'immigration se ferment de plus en plus au profit de la main d'oeuvre locale qui (encore trop lentement) monte en qualification. .