Refus de transcription de mariage et signalement de mon épouse

Bonjour,
Je vis un véritable cauchemar.
Notre demande de transcription de mariage belgo-palestinien a été refusée en Belgique, et non-contentes de ce refus, les autorités belges ont signalé mon épouse palestinienne comme indésirable dans tout l'espace Schengen, pour raison de "risque d'établissement".
Or, c'est moi qui ai quitté la Belgique pour m'installer en Algérie.
Mon épouse est gynécologue-obstétricienne et a besoin, dans l'exercice de sa profession, de parfaire ses connaissance en participant notamment à des congrès en Europe.
Que pouvons-nous faire pour lever cette sanction et faire malgré tout transcrire notre mariage ?

Bonjour ,

Votre cas est assez particulier  , nous vous avouons  que votre démarche  de mettre  le commentaire précédent sur ce blog est  particulièrement audacieuse.Cependant nous  vous conseillons de  faire appel à un avocat spécialisé dans le droit international en Algérie , vous  pouvez aussi saisir  la commission des droits de l'Homme à Alger (mais cette démarche sera symbolique ,vu leur faible influence) cela dit prenez rendez-vous avec le président de la commission, nous vous conseillons aussi de saisir  les associations belges et françaises et les autorités belges en Algérie,idem pour les autorités palestiniennes  qui peuvent vous accompagner dans vos démarches, vous avez devant vous  une grande bataille judiciaire vous pouvez entamer  une autre  elle sera médiatique  celle-ci  (blog, journaux...etc) pour conclure votre dernier recours après  la  justice algérienne et belge et  peut être française,c'est bel et bien la cour européenne.Votre bataille sera judiciaire  , médiatique .

Cordialement,
Felecitas services

Cher Felecitas,
Tout d'abord, je vous remercie pour votre réponse.
Elle me permet de me préparer davantage à ce qui nous attend, mon épouse et moi, en matière de combat judiciaire, que nous entrevoyions sans trop oser y croire.
A présent que mon dossier est constituté et pratiquement bétonné, je vais pouvoir aller au front.
J'ai déjà entamé les démarches auprès d'un avocat spécialisé dans le droit des étrangers, ainsi qu'auprès d'associations et de personnalités politiques belges, tant au niveau communal, fédéral et sénatorial, qu'européen.
Il ne me reste qu'à commencer le rameutage médiatique, comme vous le suggérez très à propos.
Chose que je ne manquerai pas de faire compte tenu de ma formation en communication :)
Je trouve simplement dommage de devoir en passer par là malgré des démarches légales préalables.
"Dura lex, sed lex"
Bien cordialement,
Michaël De Bona