Allemagne: les nouvelles économiques,et du marché du travail

Tu as Toujours des super Infos jean luc! Bonne soirée

merci ,la voiture ici c'est important ,la photo est prise á 30 km de chez moi . mais je préfére les rubriques relation franco-allemande ,ou reflexion sur l'Allemagne .  jean luc ;)

Oui tu as raison

L'Allemagne doit autoriser les euro-obligations ou sortir de la zone euro
LE CERCLE. par George Soros - Contrairement à l'opinion populaire en Allemagne et ailleurs, la crise de l'euro - dont l'Allemagne est responsable de manière disproportionnée, en raison de sa position dominante - est loin d'être terminée. Malgré les origines politiques et économiques complexes du malaise actuel de l'Europe, la solution peut se résumer en un mot : les euro-obligations.
– La crise de l'euro a d'ores et déjà transformé une Union européenne initialement destinée à constituer une association volontaire d'États égaux en un périmètre de relations créancier-débiteur dont il est désormais difficile de s'extraire. Les pays créditeurs risqueraient des pertes financières considérables si jamais l'un des États membre venait à quitter l'union monétaire ; et pourtant, les pays débiteurs sont soumis à des politiques qui accentuent leur récession, alourdissent le fardeau de leur dette, et perpétuent leur position de subordonnés. La crise menace ainsi aujourd'hui de détruire l'UE elle-même. Il s'agirait d'une tragédie d'ampleur historique, que seul le leadership allemand peut empêcher.

Les causes de la crise ne peuvent être pleinement comprises si nous n'admettons pas la défaillance fondamentale de l'euro : en créant une banque centrale indépendante, les États membres sont devenus endettés dans une monnaie qu'ils ne contrôlent pas. Initialement, autorités et acteurs du marché considéraient l'ensemble des obligations étatiques comme non risquées, incitant de manière perverse les banques à privilégier les obligations les plus fragiles. Lorsque la crise grecque a fait apparaître le spectre du défaut, les marchés financiers ont réagi par vengeance, reléguant les membres les plus lourdement endettés de la zone euro au statut de pays du Tiers monde surendettés dans une monnaie étrangère. Par la suite, les États membres lourdement endettés ont été traités comme seuls responsables de leur malheur, et le défaut structurel de l'euro n'a pas été corrigé.

Une fois ces problématiques comprises, la solution émerge quasiment d'elle-même. Cette solution peut être résumée en un mot : les euro-obligations lire le reste de l'article

  jean  luc ;) 

PS :goerge Soros est l'un des plus gros spéculateur de la planète ,et certainement l'un des plus grand responsable de la crise actuel .  jean  luc ;)

Allemagne: les instituts économiques prédisent une croissance 2013 en baisse http://md0.libe.com/photo/511511/?modified_at=1366279900&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476
Les principaux instituts économiques allemands ont légèrement abaissé jeudi leur prévision économique pour l'Allemagne en 2013 tout en faisant preuve d'optimisme pour 2014.

Pour cette année, ils attendent dorénavant un Produit intérieur brut (PIB) en hausse de 0,8%, contre une précédente estimation en octobre de 1%. Ils restent ainsi plus optimistes que le gouvernement allemand, qui table sur une maigre croissance de 0,4% pour 2013, et le Fonds monétaire international (FMI), qui vient de porter sa prévision à 0,6%. Ils misent sur un redressement de la conjoncture dès le printemps.

Pour 2014, ces quatre instituts, qui représentent divers courants de pensée économique, tablent sur un net rebond de 1,9%, davantage que le +1,6% prévu actuellement par le gouvernement allemand.

«Une tendance à la hausse refait surface dans l'économie allemande au printemps 2013», affirment dans un communiqué les instituts Ifo à Munich, IfW à Kiel, IW à Halle et RWI à Essen.

Pour appuyer leur analyse, ils évoquent un apaisement sur les marchés financiers, grâce à un reflux des incertitudes sur l'avenir de la zone euro, mais aussi des vents moins défavorables au niveau mondial.

La situation du marché du travail allemand devrait rester «robuste» avec un nombre de chômeurs de 2,9 millions en 2013, un niveau à peine plus élevé que celui de l'année précédente, puis une diminution à 2,7 millions en 2014.lire le reste de l'article

jean  luc ;)

Allemagne: le tableau s'assombrit pour la première économie européenne http://md0.libe.com/photo/513368/?modified_at=1366803312&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476
La chute du moral des entrepreneurs allemands en avril est venue mercredi assombrir le tableau pour la première économie européenne, dont le rebond pourrait être hypothéqué par le marasme qui touche beaucoup de ses partenaires.

«Risques en hausse pour la croissance» pour Commerzbank, «revers» pour Berenberg Bank, «déception» pour Natixis: les commentaires des économistes témoignaient mercredi d'un scepticisme grandissant sur la capacité du pays se découpler d'une zone euro toujours embourbée dans la récession et d'une économie mondiale poussive.

Les entreprises allemandes sont «nettement plus réservées» que le mois précédent, a commenté l'institut Ifo. Les attentes pour l'avenir «ont encore reculé», précise l'Ifo, selon lequel «la conjoncture allemande marque une pause».

La semaine dernière les perspectives étaient encore riantes: le Fonds monétaire international (FMI) avait rehaussé légèrement sa prévision de croissance pour cette année, les principaux instituts de recherche économique du pays évoquaient une reprise au printemps. C'était le message de la Bundesbank en début de semaine.

Signe de l'incertitude qui règne, il a suffi de quelques jours et deux indicateurs décevants pour qu'un «mauvais pressentiment» ne vienne s'installer, selon les mots de Heinrich Bayer, de Postbank, qui craint que «la reprise attendue de la conjoncture allemande ne repose sur des fondements moins solides qu'anticipé jusqu'ici».lire le reste de l'article

jean  luc ;)

L'Allemagne révise en hausse sa croissance pour 2013.
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/04/25/PHOd568fa20-adba-11e2-bfca-f57beaad597b-805x453.jpgL'Allemagne est le seul pays de la zone euro à revoir sa croissance en hausse pour 2013 : 0,5 % au lieu de 0,4 %. Une aubaine pour le gouvernement en cette année électorale. Les patrons restent néanmoins inquiets.
En pleine période électorale, la nouvelle lui brûlait les doigts. Une heure avant la conférence de presse, le ministre de l'Économie Philipp Rösler a confirmé sur son compte twitter l'information qui avait fuité la veille dans la presse: le gouvernement allemand a réévalué ses prévisions de croissance pour cette année, de 0,4 à 0,5 %. Avec ce commentaire du ministre: «Nous pouvons regarder l'avenir avec optimisme».lirer la suitede l'article jean  luc ;)

Allemagne : la fin de l'Internet illimité plaide pour le fibrage de l'Europe .
L'opérateur historique allemand réintroduit un plafond de consommation pour ses clients, bridant au-delà d'un certain volume de données.
Deutsche Telekom, opérateur historique et ultra-majoritaire sur le marché allemand, vient de transgresser un tabou en actant une modification de sa politique commerciale à compter du 2 mai. Il met fin à l'Internet illimité pour tous, instaurant des plafonds de volume à 75, 200, 300 et 400 Go mensuels en fonction de ses offres.

Au-delà, il n'y aura pas de blocage de la connexion - on continue de vendre un accès illimité - mais la politique instaure un "fair use" déjà connu dans l'Internet mobile, avec réduction du débit au-delà du plafond, à 384 kbps. Pour Deutsche Telekom, il s'agit de faire face à une augmentation du trafic, qui "va quadrupler d'ici 2016".Ces paliers correspondent à des tarifs déjà segmentés. Les internautes allemands payent en effet en fonction du débit souhaité, 16 Mbps, 50 Mbps, 100 Mbps ou 200 Mbps. Ces segments se verront, dès le 2 mai, appliquer les volumes de trafic maximaux respectifs de l'opérateur. C'est donc plus un renforcement d'un Internet à plusieurs vitesses qu'une réelle apparition, dans le cas de l'Allemagne.

Deutsche Telekom prend toutefois quelques précautions, notamment en annonçant l'exclusion de ces quotas de ses services "managés" type télévision sur IP ou services de VOD, contenus, etc. Une politique nécessaire, juge l'opérateur historique, qui affirme que 3% de ses abonnés génèrent 50% du trafic, justifiant une contribution proportionnelle à l'utilisation.

Ce qui pose évidemment la question de la neutralité de l'Internet. Selon le journal allemand Deutsche Welle, le gouvernement fédéral a immédiatement saisi le sujet, critiquant dans une lettre du ministre de l'Economie, Philipp Rösler, la nouvelle politique.

Le gouvernement et les autorités de la protection des consommateurs "suivront avec une grande attention les développements futurs des traitements différenciés de ses services par [Deutsche] Telekom, et notamment, en termes de neutralité des réseaux", assure-t-il.

Une position difficile à tenir pour le gouvernement fédéral allemand cependant, puisque, comme le rappelle l'école de Droit de l'université de Yale, aux Etats-Unis, dans une étude sur l'état de la neutralité du Net au niveau international, "l'Allemagne a été lente à adopter des politiques pour promouvoir la neutralité des réseaux". lire le reste de l'article .
jean  luc ;)

Ps:deutches télékom se comporte comme un monopoliste ,quand au gouvernement allemand il est actionnaire donc complice .voilà un exemple parfait de l'incapacité des gouvernements , une lettre seulement .

Les indéniables succès économiques de notre voisin d'outre-Rhin masquent les faiblesses structurelles qui le minent, souligne le professeur Didier Raoulthttp://www.lepoint.fr/images/2013/04/27/seniors-francfort-1385121-jpg_1270271.JPG La gestion économique énergique de l'Allemagne, ces dernières années, a amené à penser, dans la crise actuelle, que cette politique permettait d'en faire le leader incontesté d'Europe, avec un modèle vers lequel nous devrions tendre. Pour évaluer le succès d'une société et d'une civilisation, d'autres éléments permettent d'avoir une autre approche de l'organisation sociale.

Un point essentiel est la qualité de la production scientifique d'un pays. Lorsqu'on évalue la progression de 2002 à 2012 de la production scientifique globale de l'Allemagne comparée à celles de la France et des pays du sud de l'Europe - Italie, Espagne, Portugal et Grèce -, le résultat est que l'Allemagne est le pays qui a le moins progressé, et le Portugal celui qui a le plus progressé, suivi de l'Espagne, puis de la Grèce.
L'Allemagne, pays vieillissant

Un autre élément important concerne l'espérance de vie. Celle des Européens - à l'exception des habitants des pays de l'Est - est la meilleure au monde, très loin devant celle des États-Unis. Si l'on reprend les mêmes partenaires, l'Espagne est première, l'Italie deuxième, la France troisième, la Grèce quatrième, l'Allemagne cinquième et le Portugal sixième. Quand on prend le taux de natalité de ces pays, le premier est cette fois la France, le deuxième l'Espagne, le troisième le Portugal, le quatrième la Grèce, le cinquième l'Italie et le dernier, encore une fois, l'Allemagne. Quant à l'âge moyen des habitants de ces pays, le plus élevé est en Allemagne - 45,3 ans, contre 40,4 ans en France -, ce qui a sans doute joué un rôle dans sa réforme précoce de l'âge de la retraite. lire le reste de l'article

Concernant les chiffres de la richesse des allemands, j'ai entendu plusieurs économistes français (dont Dessertine) qui disaient que ces chiffres ne veulent rien dire, ils datent de 2008, justifié par le fait que l'europe du sud est plutôt propriétaire immobilier (donc avant la bulle immobiliére espagnole), ils prenaient le chiffre médian et non la moyenne, hors en allemagne, la richesse est plus concentrée sur quelques personnes et surtout détenue par les entreprises que l'étude excluée.
A titre personnel, je pense que la crise peut nous amener vers plus de convergence fiscale, sociale, politique de natalité, retraite,..., prenons le meilleur de chaque pays, ce qui serait une bonne chose pour tout le monde, mais je doute que les socialistes français soit assez intelligent pour le comprendre

Tu sait les chiffres ont leur fait dire ce que l on bien leur faire dire.  Pour moi j'y  crois pas trop non plus.  Jean luc

Allemagne: une 'dynamique' se met en place (SG).
(CercleFinance.com) - Les chiffres du commerce extérieur allemand parus dans la matinée démentent les dernières enquêtes les plus pessimistes, estiment vendredi les économistes de la Société Générale. L'office fédéral des statistiques
Les chiffres du commerce extérieur allemand parus dans la matinée démentent les dernières enquêtes les plus pessimistes, estiment vendredi les économistes de la Société Générale.

L'office fédéral des statistiques a annoncé ce matin que les exportations allemandes avaient augmenté de 0,5% en mars par rapport à février, avec une hausse de 0,8% des importations.

Pour SG, cette robustesse - conjuguée aux bons chiffres de la production et des commandes industrielles publiés cette semaine - sont de nature à rassurer.

'Nous prévoyons une accélération des importations cette année, sur fond de bonne résistance de la consommation privée, de progression des salaires et d'inflation modérée', expliquent les analystes.

'Les chiffres bruts récemment communiqués laissent penser qu'une certaine dynamique est en train de se mettre en place au deuxième trimestre, même si la croissance devrait rester inférieure à celle du premier trimestre', conclut Société Générale. http://www.bfmtv.com/economie/allemagne … 11862.html

jean  luc ;)

Hausse inattendue de la production industrielle en Allemagne
http://l3.yimg.com/bt/api/res/1.2/dviqcFuCd2NJldF9k3HS6w--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NTA0O2NyPTE7Y3c9ODAwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zOTc7cT04NTt3PTYzMA--/http://globalfinance.zenfs.com/images/FR_AHTTP_REUTERS_OLFRBUS_WRAPPER_H_LIVE/2013-05-08T110348Z_1_APAE9470UQD00_RTROPTP_3_OFRBS-ALLEMAGNE-INDICATEURS-20130508_original.jpg BERLIN/FRANCFORT (Reuters) - La production industrielle a augmenté contre toute attente en mars en Allemagne, a annoncé mercredi le ministère de l'Economie, qui a également révisé en hausse le pourcentage de février.

Cette production a ainsi enregistré une hausse de 1,2% en mars les usines ayant augmenté la production des biens de consommation, intermédiaires et d'équipement ainsi que celle de l'énergie.

Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé en moyenne un repli de 0,1%.

En février, la hausse avait été de 0,6% contre 0,5% en première estimation.

"L'amélioration des commandes dans le secteur industriel et la reprise de la construction devraient soutenir l'industrie manufacturière dans les mois à venir", a dit le ministère de l'Economie dans un communiqué. http://fr.news.yahoo.com/hausse-inatten … 48075.html

jean  luc ;)

L'Allemagne cherche 33.200 apprentis.
Le nombre de places vacantes dans le système allemand d'apprentissage, une spécificité du système éducatif du pays, a atteint l'an dernier un record à plus de 33.200, selon des chiffres publiés mercredi par le gouvernement qui s'inquiète d'une pénurie de main d'oeuvre. Il y avait ainsi fin 2012 deux fois plus de places vacantes que de candidats en souffrance (15.600), selon ces chiffres communiqués par le ministère de l'Education. Plus de 551.000 nouveaux contrats de formation ont été conclus, un recul de 3,2% sur un an, imputable essentiellement à l'éclaircissement des rangs chez les jeunes, dans une Allemagne vieillissante.

Dans le cadre de ces formations en alternance, une grande fierté du modèle économique allemand, les apprentis passent une partie du temps en entreprise et une partie dans des cours théoriques, sur une durée totale de trois ans. Elles concernent 344 métiers, de luthier à boucher en passant par une vingtaine de variations du métier de mécanicien, mais aussi toute la palette du secrétariat, de la vente et un bon nombre de professions médicales et para-médicales.lire le reste de l'article jean  luc ;)

« Il ne fait pas bon être pro-européen en Allemagne »
Les débats sur l'Union européenne seront au centre de la campagne électorale en Allemagne, selon l'économiste Karl Aiginger. Toutefois, les responsables politiques céderont probablement à des « déclarations populistes »

Prévues pour septembre 2013, les élections législatives allemandes promettent des débats houleux sur l'Union européenne, selon le directeur de l'Institut autrichien de recherche économique WIFO Karl Aiginger. « La question de l'Europe et de sa transformation fera partie de la campagne électorale, car les avis divergent à ce sujet », affirme l'économiste autrichien, dans un entretien accordé à EurActiv Bruxelles. Haute opinion d'eux-mêmes Cependant, « le débat en Allemagne est très irrationnel en ce moment », constate-t-il. Les Allemands sont sortis de la crise de la dette de la zone euro avec une haute opinion de la force de leur pays en Europe. Des sujets importants pourraient passer à la trappe, comme l'Union bancaire - question sensible pour l'opinion publique allemande -, la gouvernance économique de la zone euro, ou les projets d'intégration renforcée entre les 17 États membres de la zone euro. « Ils pensent qu'ils adoptent la meilleure stratégie et que l'Europe a choisi la pire », explique-t-il. Mais les Allemands estiment également avoir « beaucoup contribué financièrement » et « ne veulent pas payer davantage », résume l'économiste. Ainsi, il ne fait pas bon être proeuropéen en ces temps de campagne électorale. Cependant, « la situation devrait s'améliorer après les élections de septembre, lorsque la pression sera retombée », prévoit M. Aiginger. Au-delà de l'assainissement des finances Les positions de l'Allemagne sur l'économie ont triomphé, lors de la crise de la dette souveraine. Presque tous les États de l'UE ont été contraints de suivre Berlin dans l'assainissement des dépenses publiques et la consolidation des budgets. Des mesures nécessaires, mais que les dirigeants européens n'ont pas pu assortir de promesses claires. « Il faut commencer par savoir où nous voulons aller et pourquoi nous devons traverser des périodes difficiles. Cette vision fait défaut en principe, surtout à l'échelle nationale », a-t-il déclaré. « Si vous demandez aux Grecs ou aux Italiens ce que la Commission européenne est en train de faire, ils répondront que Bruxelles leur demande de consolider leurs finances publiques. » Mesures de relance oubliées La stratégie « Europe 2020 », adoptée en 2010, a répertorié une série d'objectifs en matière de hausse des taux d'emploi, d'amélioration de l'éducation et de réduction de la pauvreté. Karl Aiginger estime cependant que ces objectifs ont été « oubliés ». « Si vous analysez le semestre européen, les gouvernements sont sanctionnés s'ils ne respectent pas les objectifs de consolidation. Mais aucun ne l'est s'il ne lutte pas contre la pauvreté ou s'il n'augmente pas les dépenses dans la recherche et le développement. » Selon M. Aiginger, « l'impartialité est toute aussi importante en période de consolidation » et l'Union européenne devrait assortir l'austérité de mesures qui soutiennent la croissance et qui visent à relancer la base de production dans les États membres du Sud. Les travailleurs pauvres de l'Allemagne Le directeur du WIFO s'inquiète en particulier des conséquences de la modération salariale appliquée en Allemagne à la suite des réformes « Hartz » introduites par Gerhard Schröder en 2003. « À l'époque, je pense que c'était nécessaire, car les salaires des Allemands étaient plus élevés que leur productivité », a-t-il indiqué, en mettant en évidence les résultats positifs de la réduction du chômage. Cependant, la multiplication des travailleurs pauvres et peu qualifiés « empêche une croissance plus forte ». Les entreprises allemandes enregistrent désormais des bénéfices supplémentaires, mais ne les utilisent pas pour investir en Europe, car l'avenir est trop incertain, précise-t-il. « Si l'une des principales économies d'Europe ne stimule pas la demande intérieure, la consolidation dans d'autres pays ne fonctionnera pas. »

Source : http://www.euractiv.fr/institutions/etr … 19150.html
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jean  luc ;)

Pas de récession en vue pour l'Allemagne
Le climat des affaires et le moral des consommateurs s'améliore. Prudent, le gouvernement allemand s'attend ce que le PIB ne progresse cette année que de 0,5%. http://referentiel.nouvelobs.com/file/5837370-pas-de-recession-en-vue-pour-l-allemagne.jpg
L'économie allemande va probablement renouer avec la croissance, après avoir stagné au premier trimestre 2013 en raison d'un hiver rigoureux, mais elle restera loin des niveaux qu'elle atteignait avant la crise de la zone euro, à cause de la faiblesse persistante des investissements et des exportations.

Une nette amélioration du climat des affaires et du moral du consommateur laissent espérer une accélération prochaine de la croissance, qui a tout juste réussi à atteindre 0,1% au premier trimestre grâce à la reprise de la consommation des ménages.

Le gouvernement d'Angela Merkel, candidate à un troisième mandat lors des élections prévues en septembre, ne s'attend néanmoins qu'à une croissance modeste de 0,5% en 2013.

"Personne ne prévoit une croissance solide cette année, en particulier après un premier trimestre aussi décevant", souligne Christoph Schmidt, président du Conseil des experts économiques, qui conseille le gouvernement.

"La contribution du commerce extérieur sera faible et elle pourrait même peser sur la croissance, il ne reste que la demande intérieure", explique-t-il. "La consommation des ménages est relativement stable mais les investissements sont limités. La vraie question, c'est la date et l'ampleur de leur reprise."lire le reste de l'article  jean  luc ;)

En Allemagne, les recrutements s'accélèrent...


Pendant que la France connaît de multiples plans de licenciements, les entreprises allemandes, elles, embauchent massivement. Mais comment font-elles ?
http://www.lepoint.fr/images/2013/05/28/volkswagen-wolfsburg-jpg-1514970-jpg_1397181.JPG
PSA Peugeot Citroën, Air France, Goodyear, ArcelorMittal, IBM, Petroplus, Virgin, Sanofi, Candia... La liste des plans de licenciements s'allonge de semaine en semaine en France. L'industrie est particulièrement touchée par ces charrettes massives. L'an dernier, 266 usines ont fermé leurs portes, soit 42 % de plus qu'en 2011. En quatre ans, 1 087 sites de production ont disparu pour seulement 703 ouvertures, selon les calculs de l'observatoire de l'emploi et de l'investissement Trendeo. Les constructeurs automobiles ont annoncé, à eux seuls, 41 994 suppressions d'emplois en trois ans.

En Allemagne, Volkswagen a, quant à lui, procédé à 41 423... embauches durant la seule année 2012 ! Le groupe pharmaceutique Fresenius a pour sa part recruté 6 529 personnes en République fédérale, tandis que BMW et Siemens se sont "contentés" d'accroître leurs effectifs respectivement de 3 587 et 3 000 salariés. Les trente groupes cotés au Dax ont ainsi créé 53 000 emplois en 2011 et en 2012. Cette envolée fait, certes, suite à la disparition de 150 000 postes en Allemagne entre 2000 et 2010, selon les calculs du quotidien financier Handelsblatt, mais elle montre la forme retrouvée de ces multinationales dans une période où le reste de l'Europe, et la France en particulier, n'arrive toujours pas à sortir de la crise.lire le reste de l'article
jean  luc ;)

Les inondations en Allemagne pourraient coûter 3 milliards d'euros aux assureurs
Les pertes assurées « seront très inférieures » au montant total des dommages, selon Fitch Ratings qui estime que les dégâts pourraient s'élever à 12 milliards d'euros en Allemagne.

http://www.lesechos.fr/medias/2013/06/11/574427_0202821611216_web_tete.jpg
Alors qu'une partie de l'Allemagne et de l'Europe centrale est sous les eaux, les inondations qui frappent ces pays depuis une dizaine de jours s'annoncent plus coûteuses que celles de 2002. D'après l'agence de notation Fitch Ratings, qui a été la première hier à avancer une estimation chiffrée, si les inondations actuelles évoluent comme attendu, les dégâts pourraient s'élever à 12 milliards d'euros rien qu'en Allemagne, dont 2,5 à 3 milliards à la charge des assureurs. En 2002, les crues de l'Elbe et de ses confluents avaient causé en Europe 16,5 milliards d'euros de dommages économiques (11 milliards en Allemagne), dont 3,5 milliards de pertes assurées.

Il faudra attendre la décrue et les estimations d'Allianz, le premier assureur allemand, de Munich Ré et de Swiss Re, les grands réassureurs mondiaux, pour avoir une idée plus précise de l'ampleur de la catastrophe.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

britannique The Economist consacre cette semaine 14 pages à un dossier spécial sur l'Allemagne. Il y fait un tour d'horizon de l'économie allemande et se penche plus particulièrement sur la position affichée par Berlin dans la crise qui secoue la zone euro. Le journal arrive à une conclusion très critique. « Si l'Allemagne ne se remue pas, l'économie du continent, et sa situation politique, vont s'aggraver », écrit-il rejoignant ainsi l'avis de nombreux analystes.

Les Allemands ne sont pas conscients de la responsabilité politique que leur confère leur statut de première économie européenne largement épargnée par la crise et préfèrent se voir comme « une grande Suisse », neutre et prospère, a argumenté lors de la présentation du magazine à Berlin la rédactrice en chef chargée du dossier Zanny Minton Beddoes. Elle a appelé le pays à « adopter une mentalité de grand pays », et concrètement à en faire plus pour relancer l'économie européenne notamment en stimulant l'investissement, public et privé, chez lui. Le rôle de Berlin est d'autant plus crucial que le Royaume-Uni est « absent » de l'arène européenne et la France « faible », selon elle. lire le restede l'article

Europe/PMI-Signes de stagnation en Allemagne
Principaux résultats des enquêtes Markit auprès des directeurs d'achat du secteur en Europe en mars en version flash, publiés jeudi:

* ALLEMAGNE-STAGNATION DU PIB EN VUE AU DEUXIÈME TRIMESTRE

Le secteur privé allemand est resté de justesse en croissance en juin, comme le mois précédent, mais les nouvelles commandes ont reculé, montrent les résultats préliminaires de l'enquête PMI, qui suggèrent une stagnation du produit intérieur brut (PIB) sur le deuxième trimestre.

L'indice composite, qui regroupe secteur manufacturier et services, est remonté à 50,9 - son plus haut niveau depuis février - contre 50,2 en mai, se maintenant ainsi pour le deuxième mois consécutif au-dessus de la barre de 50 séparant contraction et expansion de l'activité.

L'indice manufacturier est cependant resté sous ce seuil, s'en éloignant même, à 48,7 contre 49,4, alors que les économistes interrogés par Reuters l'attendaient en hausse à 49,8.

Confrontées à la baisse des commandes (la plus forte depuis décembre pour les commandes à l'export), les entreprises industrielles ont poursuivi les réductions d'effectifs au rythme le plus soutenu depuis janvier.

"L'économie parvient tout juste à maintenir la tête hors de l'eau. Elle stagne et elle pourrait croître au troisième trimestre mais pour l'instant, les entreprises trouvent sans doute la situation très difficile et réduisent leurs effectifs", résume Chris Williamson, chef économiste de Markit.

L'indice des services est remonté à 51,3 contre 49,7 en mai, dépassant le consensus qui le donnait à 50,0.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Le niveau des prix en Allemagne, secret de sa compétitivité.
http://www.latribune.fr/getCrop.php?ID=4286292&ext=jpg&W=770&H=380&ptr=0Selon Eurostat, les prix allemands sont inférieurs en moyenne de 1,3 % à ceux de la zone euro. Ils étaient en 2001 supérieurs de 6,6 % à cette même moyenne...

Beaucoup d'hypothèses circulent sur la force de la compétitivité allemande. Eurostat vient de donner la sienne grâce à une statistique en apparence anodine : le niveau des prix. Le prix moyen d'un panier moyen de produits comparables en Allemagne se situe légèrement (1,8 %) au-dessus de la moyenne de l'Union européenne à 27. L'Allemagne apparaît comme un pays particulièrement bon marché au regard de sa richesse par habitant. Toujours selon Eurostat, en effet, le PIB par habitant allemand se situe, lui, 21 % au-dessus de la moyenne européenne.

De la Slovaquie à la Finlande

Mais les résultats au niveau de la zone euro sont particulièrement intéressants. En 2012, le niveau des prix allemands étaient inférieurs de 1,3 % à la moyenne des 17 pays partageant la monnaie commune. Huit pays de l'UEM affichaient des prix supérieurs. La Finlande affiche le niveau de prix le plus élevé des 17 avec un niveau de prix supérieur de 20,3 %, suivie du Luxembourg (18,1 % plus cher que la moyenne) et de l'Irlande (11,5 % de plus que la moyenne). La France, où les prix sont supérieurs de 5,8 % à la moyenne de la zone euro, arrive en cinquième position. La Slovaquie, Malte et l'Estonie sont les pays les meilleur marché de la zone euro. Entre la Slovaquie et la Finlande, la différence du niveau des prix atteint 73,4 %. !

Fondements de la compétitivité allemande

Ce niveau des prix en Allemagne ne signifie pas seulement que le touriste allemand a un plus fort pouvoir d'achat lorsqu'il se rend ailleurs dans la zone euro, comme le soulignent ce lundi matin la presse allemande (la Süddesutsche Zeitung notamment). Il signifie aussi que les salaires allemands peuvent se permettre d'être plus faibles outre-Rhin (ce qui entretient ce faible niveau des prix) et que les marchés domestiques allemands sont protégés des nouveaux entrants par des niveaux de marge faibles. lire le reste  jean  luc ;)

Le marché automobile allemand en baisse de 5% en juin.
http://l.yimg.com/bt/api/res/1.2/A_6YU8ApGQuL5actpD2ldw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NDYxO2NyPTE7Y3c9ODAwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNjQ7cT04NTt3PTYzMA--/http://globalfinance.zenfs.com/images/FR_AHTTP_REUTERS_OLFRBUS_WRAPPER_H_LIVE/2013-07-02T084759Z_1_APAE9610OG100_RTROPTP_3_OFRBS-ALLEMAGNE-AUTOMOBILE-20130702_original.jpgLa baisse des ventes de voitures a ralenti en juin en Allemagne comme sur d'autres grands marchés de la zone euro, une évolution qui entretient l'espoir d'une stabilisation prochaine du marché.

Les immatriculations de voitures neuves en Allemagne ont diminué d'environ 5% le mois dernier par rapport à juin 2012, a déclaré à Reuters mardi une source du secteur ayant connaissance des statistiques.

Sur l'ensemble du premier semestre, le marché automobile allemand a reculé d'environ 8%, a précisé la source. Sur le seul mois de mai, la baisse avait atteint 10%.

En France, les immatriculations ont reculé de 9% en juin en données brutes après un repli de 10,3% en mai, mais leur baisse en données corrigées des jours ouvrés n'a été que de 4,4%, un signe de stabilisation progressive du marché.

Les chiffres publiés en Italie et en Espagne confortent ce scénario, la baisse des ventes voitures s'atténuant également dans ces pays plus durement touchés par la crise.

La VDA, la principale fédération du secteur en Allemagne, doit publier les chiffres détaillés des ventes de juin à 9h30 GMT.

Le mois dernier, elle a abaissé ses prévisions pour l'ensemble de l'année, disant tabler désormais sur 2,9 à 3,0 millions d'immatriculations contre environ 3,0 millions auparavant et après 3,1 millions en 2012. http://fr.news.yahoo.com/le-march-autom … 59103.html 

jean  luc ;)

http://s2.lemde.fr/image/2011/12/14/534x0/1618271_7_4be6_pour-angela-merkel-la-nouvelle-reglementation_e128029711dd6eacc02de3cf0775e9c1.jpgAutomobile : l'Allemagne s'oppose au projet européen de baisse des rejets de CO2 La Commission européenne est confrontée à de nouvelles difficultés alors qu'elle espère concrétiser son projet de réduire les émissions de dioxyde de carbone (C02) : la chancelière allemande Angela Merkel s'y est expressément opposée, vendredi 5 juillet. Dans un entretien à l'agence de presse DPA, Mme Merkel a jugé que la réglementation, qui devrait pénaliser les nouvelles voitures rejetant plus de 95 g de CO2/km à partir de 2020, n'était "pas raisonnable". Elle prenait ainsi ouvertement le parti des constructeurs allemands de berlines, Daimler (Mercedes), BMW, Audi et Porsche.
MESURES "ARBITRAIRES"

Les contraintes seraient en effet très lourdes pour les modèles haut de gamme des constructeurs d'outre-Rhin. Selon le président de la Fédération allemande de l'automobile, qui a dénoncé les mesures "arbitraires" envisagées par Bruxelles, 60 % des emplois de cette industrie dépendent de ce segment.

La moyenne actuelle d'émission des modèles produits en Allemagne était, en 2011, de 147 g/km selon le Conseil international pour un transport propre (ICCT), une ONG soutenue par diverses fondations. La moyenne de l'Union européenne est de 132 g/km, proche de l'objectif (130) fixé pour la période 2012-2015. En mai, l'ICCT accusait en outre les constructeurs allemands de travestir les chiffres d'émissions de leurs modèles.

Les déclarations de la chancelière sont une nouvelle étape dans la tentative de Berlin pour empêcher la mise en oeuvre d'un texte conclu âprement en 2008. Le Parlement européen entend, de son côté, imposer des mesures plus contraignantes, avec une norme de 68 à 78 g/km en 2025.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Mauvais indicateurs éco en Allemagne
La production industrielle allemande a baissé de 1% en mai, un recul deux fois plus marqué qu'attendu et le plus important enregistré depuis octobre.

Le ministère de l'Economie a toutefois revu à la hausse le chiffre d'avril, à +2,0%, et il note que la tendance de fond reste favorable malgré le repli de mai. "Les indicateurs avancés du sentiment suggèrent une poursuite de la reprise industrielle à un rythme légèrement réduit", explique-t-il dans un communiqué.

La production de biens d'équipement a baissé de 2,3% en mai et l'activité de la construction a reculé de 2,6%.

Les exportations allemandes ont reculé de 2,4% en mai en données corrigées des variations saisonnières (CVS), leur plus forte baisse depuis la fin 2009, tandis que les importations augmentaient de 1,7%, soit bien plus qu'attendu, montrent les statistiques officielles publiées lundi.http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/08/97002-20130708FILWWW00345-mauvais-indicateurs-eco-en-allemagne.php  jean  luc ;)

Allemagne : des programmes électoraux coûteux
L'institut de conjoncture IW a décortiqué les projets des partis.
Sa critique : les mesures fiscales constituent un « poison » pour l'emploi.http://www.lesechos.fr/medias/2013/07/11/585093_0202887699192_web_tete.jpg
L'Allemagne aborde la campagne des élections législatives dans la meilleure des situations pour la chancelière sortante : les caisses publiques sont pleines et le miracle perdure sur le marché du travail. Ce qui n'empêche pas les partis politiques de se lancer dans une course aux coûteuses promesses électorales. Résultat, les mesures fiscales et sociales envisagées constituent un «  poison pour la croissance et l'emploi », sermonne l'institut de conjoncture IW.

Les programmes adoptés par les 5 partis siégeant au Bundestag sont passés au crible par l'institut de Cologne, proche du patronat. Son verdict est plus nuancé sur la question du salaire minimum proposé à 8,50 euros l'heure pour tous les secteurs par le SPD et les Verts et même jusqu'à 10 euros chez Die Linke.
Retraites des mères de famille, pension minimum

L'IW cite des études concluant tantôt sur un effet bénéfique, tantôt négatif sur l'emploi et donc les rentrées fiscales. Il conclut néanmoins que les avantages prétendus du salaire minimum sont « très discutables ». La CDU-CSU propose un salaire minimum à déterminer entre partenaires sociaux, ce qui est vu comme un moindre mal par l'IW. Côté mesures fiscales, le programme adopté par l'Union conservatrice CDU-CSU vise un allégement de l'impôt sur le revenu, en corrigeant les effets de seuil défavorables. Mais d'autres promesses lancées par la chancelière, Angela Merkel, comme sa ministre du Travail, par exemple sur les retraites des mères de famille et un minimum de 850 euros pour ceux qui auront cotisé 40 ans, conduisent à 12 milliards d'euros de surtaxe annuelle d'ici à cinq ans. L'institut est parti du principe que cela sera financé par de nouvelles cotisations. 100.000 emplois seraient perdus en comparaison à une situation de statu quo. L'addition se monte à quelque 60 milliards d'euros tant chez les Verts que les sociaux-démocrates du SPD, qui veulent relever la tranche supérieure de l'IR, créer un nouvel impôt sur la fortune et relever les retraites. L'impact à terme serait négatif de 0,7 % sur la croissance et coûterait 300.000 emplois par an lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Dépôt de bilan des magasins de bricolage Praktiker en Allemagne
Praktiker a annoncé jeudi le dépôt de bilan de ses activités principales de magasins de bricolage en Allemagne, avec pour objectif de les restructurer.

Le groupe a précisé que les dirigeants des sociétés qui opèrent les enseignes Praktiker et extra-BAU+HOBBY ont demandé à un tribunal de Hambourg d'ouvrir une procédure d'insolvabilité liée à un endettement excessif, après l'échec des négociations avec ses créanciers.

Ni ses magasins Max Bahr ni son activité à l'international ne sont concernés par la procédure, a-t-il précisé.

Le groupe, exploite 414 magasins, pour les trois-quarts en Allemagne, précise qu'il a souhaite une restructuration de ses activités dans le cadre de ce dépôt de bilan.

L'action Praktiker chutait de 63,51% à 0,135 euro en Bourse de Francfort vers 14h00, juste après l'annonce.

Comme d'autres acteurs du secteur, l'enseigne a souffert de la météo défavorable des premiers mois de l'année, qui a eu pour effet une chute de 10% de ses ventes au premier trimestre.lire le restede l'article . 

jean  luc ;)

Allemagne: Le moral des investisseurs allemands plie mais ne rompt pas  .
Francfort (awp/afp) - Le moral des investisseurs allemands a enregistré un recul surprise en juillet, d'après le résultat du baromètre ZEW publié mardi, qui a dressé une image contrastée de l'humeur des milieux financiers en Allemagne.

Cet indice, qui mesure les attentes des investisseurs pour les six mois à venir, s'est replié en juillet à 36,3 points, soit 2,2 points de moins qu'en juin (38,5 points), a annoncé mardi dans un communiqué l'institut ZEW qui le réalise.

Ce résultat est nettement inférieur aux attentes du consensus d'analystes réuni par l'agence DowJones Newswires qui tablait sur un indice ZEW à 40 points ce mois-ci.

"De nouveaux nuages sombres ont commencé à obscurcir les perspectives de croissance de l'économie allemande. Ces nuages ne viennent pas du sud mais de l'est", estimait Carsten Brzeski, analyste pour la banque ING.

Selon cet analyste, "le bégaiement et maintenant le ralentissement de l'économie chinoise est une source claire d'inquiétude".lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Nouvelle amélioration du climat des affaires en Allemagne
http://www.lesechos.fr/medias/2013/07/25/589729_reuters_538275_OFRBS-ALLEMAGNE-INDICATEURS-IFO-20130725.jpgLe climat des affaires s'est encore amélioré en juillet en Allemagne après les progressions de juin et de mai, ce qui suggère que l'économie allemande se redresse lentement après une contraction fin 2012 et un premier trimestre 2013 morose, selon l'indice Ifo publié jeudi par l'institut du même nom.

Son indicateur du climat des affaires a progressé à 106,2, contre un consensus de 106,1 et un niveau de 105,9 en juin.

La composante des conditions actuelles a également augmenté, à 110,1, après 109,4 en juin. Celle des attentes a en revanche baisse à 102,4, contre 102,5 en juin. Les économistes attendaient respectivement 109,7 et 102,5 pour ces deux indices. http://www.lesechos.fr/economie-politiq … 589729.php  jean  luc ;)

Auto : l'Allemagne relance la guerre du CO2
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/07/29/PHO9c4d658a-f86c-11e2-9f23-87ca3484da84-805x453.jpg
Pour protéger ses constructeurs, l'Allemagne tente d'empêcher la mise en place de normes contraignantes.
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L'Allemagne et ses constructeurs automobiles ont de solides atouts. Mais ce sont aussi de mauvais perdants. Dans ce qui se profile comme la bataille industrielle de l'année, Berlin s'apprête à remettre en cause un accord déjà ficelé sur la baisse des émissions CO2des voitures, semant la consternation dans les institutions européennes et la colère à Paris et dans d'autres capitales.

L'interdit qui vient de frapper l'immatriculation de certains modèles Mercedes en France n'est qu'une première et bruyante escarmouche sur un front bien plus large. Officiellement, Paris se garde d'établir un lien entre cet imbroglio sur un fluide réfrigérant et le bras de fer qui se prépare pour la rentrée sur le CO2. Mais le ton est donné, en privé: «C'est un bon moyen de signifier à l'Allemagne et à ses constructeurs qu'ils doivent se plier aux règles européennes, même si elles ne leur conviennent pas.»

À Bruxelles, la bataille rangée va se livrer sur les objectifs d'émissions de CO2 à l'horizon 2020, voire 2025, des objectifs contraignants qui vont dicter la stratégie de recherche et d'investissement de tous les constructeurs européens, à coups de dizaines de milliards d'euros. Le curseur est déjà fixé d'un commun accord, Allemagne comprise: en 2020, pour tous les véhicules neufs, ce sera 95 grammes de dioxyde de carbone en moyenne au kilomètre. En 2025, l'objectif devrait être à nouveau réduit, avec un règlement européen à fixer au plus tard en 2015.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

PS:il y a de la mauvaise fois dans cet affaire, les européens veulent faire payer á l'Allemagne ,sa bonne gestion economique .
De toutes façons  les marques française sont dans le bas du tableau en Allemagne et en Europe ,les voitures française sont peu fiable .

Certes, mais les allemands ne sont pas si écolo que cela au final. Ils sont sont comme tout le monde, l'écologie, c'est bien pour les autres.

sebast59 a écrit:

Certes, mais les allemands ne sont pas si écolo que cela au final. Ils sont sont comme tout le monde, l'écologie, c'est bien pour les autres.


Disons qu'il défend leurs bistecks ,le problème est ailleurs ,si tous le monde prenais les transports en commun on pourrais plus circuler ,regarde Paris ,et puis moi je suis à la campagne ,j'ai besoin de ma voiture ,mais je la prend pas pour faire 500 m .jean  luc ;)

L'interdiction des Mercedes, "une représaille politique contre l'Allemagne"

L'interdiction des Mercedes, "une représaille politique contre l'Allemagne"


Mercedes-Benz poursuit en justice le gouvernement français après l'interdiction d'immatriculation de certains modèles. Pour Bertrand Rakoto, consultant automobile, la France prend des décisions politiques qui ont un impact économique et diplomatique important.
http://static.lexpansion.com/medias/230/118088.jpg
La guerre entre Mercedes-Benz et l'Etat est bel et bien déclarée. Philippe Martin, le ministre de l'Ecologie a interdit l'immatriculation des modèles Classe A, B et CLA au motif que le constructeur allemand n'utilise pas le gaz de climatisation homologué par l'Union européenne. En réponse, Mercedes poursuit le gouvernement devant le Conseil d'Etat. L'entreprise met en avant le fait que le nouveau gaz serait inflammable. Les concessionnaires de la marque allemande déplorent déjà une baisse de 50% des commandes et une chute de 60% du chiffre d'affaires. Décryptage d'une situation sous tension avec Bertrand Rakoto, consultant automobile au sein du cabinet spécialisé Polk.
L'interdiction d'immatriculations de la France à l'encontre de Mercedes peut-elle avoir un impact sur l'entreprise allemande?

Cette mesure prise par l'Etat ne va pas porter atteinte à Mercedes-Benz au niveau mondial. En revanche au niveau national, il y aura de réelles conséquences. Cette interdiction d'immatriculations sur certains modèles oblige la société à mettre en place des moyens commerciaux et des solutions pour les clients qui sont assez coûteux. Il faut faire en sorte de faire patienter les clients qui sont en attente de la livraison de leurs véhicules depuis un mois et demi, ou de leur proposer des solutions alternatives. Même si cela ne va pas les empêcher d'aller, pour certains, chez les constructeurs concurrentslire le reste de L'article
  jean  luc ;)

PS: je suis pour  que l'Allemagne déclenche une contre attaque contre le gouvernement français ,et les constructeurs français en interdisant l'importation de certains véhicules en raison du risque d'explosion du gaz

L'Allemagne a versé 86 milliards d'euros pour sauver la zone euro
Le premier plan de sauvetage de la zone euro a coûté 86 milliards d'euros à l'Allemagne. Et 28 milliards supplémentaires devraient venir s'y ajouter d'ici avril 2014 pour un total de 114 milliards d'euros.
http://www.bfmtv.com/i/580/290/672218.jpg
Les citoyens allemands ont garanti le sauvetage de la zone euro à hauteur de 86 milliards d'euros jusqu'à présent, selon une note du ministère allemand des Finances, rapporte la presse allemande, ce jeudi 8 août.

Ce chiffre ne comprend que les versements au Fonds européen de stabilité financière (FESF), le premier mécanisme européen de sauvetage créé en 2010.

A cette somme de 86 milliards, déjà versés, vont donc s'ajouter 28 milliards d'ici avril 2014 pour le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui doit assurer la relève du FESF.

68,7 milliards d'euros versés par la France

Au total, l'Allemagne aura donc déboursé 114 milliards d'euros en quatre ans pour sauver ses voisins européens. Une annonce qui ne devrait pas calmer la grogne des Allemands, alors que les prochaines élections auront lieu dans moins d'un mois.lire le reste de l'article jean  luc ;)

Allemagne: regain d'optimisme des investisseurs en août

Francfort (awp/afp) - Le moral des investisseurs allemands s'est nettement amélioré en août sous l'effet d'un regain de confiance à la fois pour la zone euro et pour l'Allemagne, d'après le résultat du baromètre ZEW publié mardi.

Cet indice, qui mesure les attentes des investisseurs pour les six mois à venir, a progressé de 5,7 points par rapport à juillet, à 42 points, faisant mieux qu'attendu.

Le consensus d'analystes réuni par l'agence Dow Jones Newswires tablait sur un indice ZEW à 40 points.

Il s'agit de son plus haut niveau depuis le mois de mars, a souligné dans un communiqué l'institut du même nom qui le publie.

"Le fait qu'une fin de la récession semble se dessiner dans plusieurs Etats importants de la zone euro a sans doute contribué à cette hausse", explique l'institut, qui évoque également "la solide conjoncture allemande".

La composante de l'indice portant sur la situation actuelle de l'Allemagne a progressé de 7,7 points par rapport au mois dernier, à 18,3 points, faisant mieux que les 12 points auxquels s'attendaient les experts interrogés par Dow Jones Newswires.
http://www.romandie.com/news/n/Allemagn … 131201.asp  jean  luc ;)

Europe: le marché obligataire s'éloigne de la crise de la dette
http://l.yimg.com/bt/api/res/1.2/w_L05uoknYaU_8eCv2rxOw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzUxO2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTE7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/AFP/c590708589a00b546aad82a07809561aa60ca32b.jpg
Le marché obligataire en zone euro s'éloigne chaque jour un peu plus de la crise de la dette, au point que l'écart entre les taux d'emprunt des pays fragiles et ceux de l'Allemagne est au plus bas depuis l'été 2011.

"Le marché obligataire bénéficie à la fois du soutien indéfectible de la BCE depuis un an et d'indicateurs d'activité plus favorables que prévu depuis quelques semaines. Ce cocktail permet de rassurer les investisseurs", résume René Défossez, stratégiste obligataire chez Natixis.

La normalisation du marché obligataire s'est enclenchée en juillet 2012 grâce au discours du patron de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi, qui s'est dit prêt à tout pour sauver l'euro et a proposé de racheter de manière illimitée de la dette publique sous conditions.

Elle se poursuit cet été à la faveur d'une série d'indicateurs économiques rassurants, avec des chiffres de croissance meilleurs que prévu au deuxième trimestre.

Sur le marché de la dette, la prime de risque, mesurée par l'écart entre les taux d'emprunt des pays en difficulté et ceux de l'Allemagne, est retombée à ses niveaux de juillet 2011, soit juste avant le pic de la crise de la dette. Il atteint environ 2,5 points de pourcentage pour l'Espagne et 2,3 pour l'Italie.

Il évoluait encore à 6,3 pour l'Espagne en juillet 2012 et à 5,5 pour l'Italie en novembre 2011.

Cette évolution tient à la détente des taux espagnols et italiens, mais elle résulte plus encore de la remontée récente des taux en Allemagne, dont les obligations sont chères et peu rémunératrices.

"La stabilisation de l'économie fait que les investisseurs prennent plus de risque et se désengagent des obligations qui sont des valeurs refuge, comme celles de l'Allemagne et dans une moindre mesure la France", remarque Christian Parisot, économiste chez le courtier Aurel BGC.

Le taux de l'Allemagne souffre également de sa corrélation avec le taux des Etats-Unis, qui grimpe dans la perspective d'une réduction des rachats d'obligations par la Réserve fédérale américaine (Fed) très probablement avant fin 2013.

De leur côté, les pays les plus fragiles bénéficient d'un retour à une croissance plus vive en zone euro qui pourrait faciliter les ajustements budgétaires.

"Un cercle vertueux peut s'enclencher pour les pays du sud de l'Europe", souligne M. Parisot. Une baisse des taux souverains peut en effet bénéficier aux entreprises qui à leur tour s'endetteront moins cher et pourraient se remettre à investir.

De là à dire que la crise de la dette est un vieux souvenir, il n'y a qu'un pas.

"Il faut rester prudent mais on peut commencer à tourner la page de la crise de la dette. On a en tout cas sûrement passé le pire", selon M. Parisot, pour qui toute la question est de savoir si l'amélioration de l'activité économique est durable.

"Officiellement, la zone euro est sortie de la récession, mais la plupart des Européens ne le sentiront pas (...) Le redressement reste très fragile en raison de la politique budgétaire trop restrictive", estime dans une note Raymond Van der Putten, économiste chez BNP Paribas.

Contraints par des politiques d'austérité de grande ampleur, qui suscitent régulièrement la colère de leurs populations, plusieurs pays de la zone euro sont loin d'être tirés d'affaire.

C'est la raison pour laquelle, "le marché va rester très sensible aux indicateurs", selon M. Parisot, pour qui "il suffira de deux ou trois mauvaises statistiques sur l'Espagne ou l'Italie pour que la prime de risque augmente".

Les investisseurs se méfient par ailleurs des risques politiques, qui peuvent mettre en difficulté une coalition au pouvoir. Sans compter les prochaines élections allemandes qui se tiennent fin septembre et seront scrutées par les marchés.

Enfin, il n'est pas exclu que des pays déjà sous assistance internationale puissent avoir besoin d'une rallonge voire d'un nouveau plan d'aide, comme le Portugal ou la Grèce.

"Quand les choses vont mieux sur le plan économique, on se pose moins la question de savoir qui sont les pays solvables et ceux qui ne le sont pas", relève M. Défossez. Or, selon lui, la question pourrait bien revenir rapidement dans les esprits, ne serait-ce qu'avec le retour prévu du Portugal sur les marchés de la dette en 2014. http://fr.news.yahoo.com/europe-march%C … 02396.html 

jean  luc ;)

L'Allemagne reconnaît la monnaie virtuelle Bitcoin, pour mieux la taxer . http://s1.lemde.fr/image/2013/04/09/534x267/3156581_3_8f5d_le-systeme-de-monnaie-virtuelle-bitcoin_a85d434d2933b57b00d4d98f2c87cc10.jpg
nventé en 2009 dans le sillage de la crise financière mondiale, le Bitcoin conquiert peu à peu une reconnaissance internationale. L'Allemagne a ainsi annoncé la reconnaissance officielle de la monnaie virtuelle comme "monnaie privée", explique lundi 19 août le Huffington Post.

Grâce à ce statut juridique, tous les "échanges multilatéraux" pourront être réalisés dans cette devise virtuelle en Allemagne. En contrepartie, Berlin ne cache pas son intérêt dans l'opération : l'administration fiscale pourra en effet désormais prélever une taxe sur toutes ces transactions, qui échappaient jusque-là à l'impôt.

Et la part de Berlin est loin d'être négligeable, puisque les prélèvements se feront à hauteur de 25 % sur les bénéfices la première année. "Cela fonctionnera exactement comme la taxation sur les plus-values immobilières. Concernant les entreprises, elles devront intégrer un taux de TVA dans toutes leurs transactions en bitcoins", explique encore le Huffington Post.

21 MILLIONS DE BITCOINS D'ICI À 2030

Le Bitcoin a été lancé par Satoshi Nakamoto, pseudonyme d'un informaticien qui souhaitait créer une monnaie ne dépendant d'aucune banque centrale ou institution financière. Pour pouvoir échanger des bitcoins, les internautes doivent installer un logiciel sur leur ordinateur. Ces utilisateurs allouent dès lors une partie de la capacité de calcul de leur machine et contribuent au processus de sécurisation des transactions. Ce système permet également de générer, au compte-gouttes, de nouveaux bitcoins, un algorithme gratifiant au hasard un internaute pour sa contribution.lire le este de l'article

jean  luc ;)

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Quand l'Allemagne s'exclame : "Vive la crise !"


Berlin va économiser 41 milliards d'euros entre 2010 et 2014 grâce à des taux d'intérêt particulièrement bas. Une bonne nouvelle pour les finances du pays.
http://www.lepoint.fr/images/2013/08/22/allemagne-crise-argent-1836399-jpg_1661151.JPG
Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres. Les Allemands pourraient difficilement dire le contraire... La République fédérale paiera en quatre ans 41 milliards d'euros de moins que prévu pour le remboursement de sa dette. Ce chiffre, révélé par le ministère des Finances à la suite d'une question posée par le député social-démocrate (SPD) Joachim Poss, s'explique.

Face à la crise, à la nervosité des marchés financiers, aux faibles taux d'intérêt proposés par les banques de détail et à la dégringolade de l'euro, les épargnants ont de plus en plus le réflexe bien naturel de se tourner vers une "valeur sûre" en cherchant un placement coulé dans le béton et sans risque apparent. Dans ce domaine, les obligations allemandes font figure de refuge. Depuis l'aggravation de la crise grecque et les remous autour des dettes espagnole, italienne et portugaise, les investisseurs se ruent sur les emprunts d'État allemands. Notées AAA par les agences, ces obligations font figure de grand favori des épargnants. Avec sa discipline budgétaire à toute épreuve, son statut de première puissance économique européenne et ses exportations en forte hausse, Berlin rassure.
Des taux deux fois plus faibles que ceux de l'Italie ou de l'Espagne

Depuis 2010, les taux auxquels la première puissance de la zone euro emprunte de l'argent ont en conséquence pratiquement chuté de 1 %. Le "Bund" sur dix ans ne rapporte ainsi que 1,89 % aux investisseurs. La France (2,44 %), les États-Unis (2,80 %), l'Italie (4,24 %) ou l'Espagne (4,40 %) doivent promettre de bien meilleurs dividendes aux marchés pour pouvoir écouler leurs obligations. Une bonne nouvelle n'allant jamais seule, la République fédérale a emprunté, de 2010 à 2012, 73 milliards d'euros de moins que prévu en raison de la bonne santé de son économie et de rentrées fiscales supérieures aux attentes des prévisionnistes. Ces faibles taux couplés à un endettement contrôlé devraient ainsi permettre à Berlin d'économiser exactement 40,9 milliards d'euros entre 2010 et 2014. Vive la crise...lire le reste de l'article
jean  luc ;)

:D C'est plutôt la bonne gestion des finances publics, par contre, l'argent économisé aurait été utilement investi dans une politique familialle, les allemands sont peu être de trés bon gestionnaires, mais sont moins bon quant aux investissements tournés vers l'avenir:lol:

l'Allemagne a investi beaucoup dans les écoles ,les lycée ,mais pas dans la petite enfance (maternelles) ,et nombre d'école n'ont pas de cuisine ,seul 40 % des école peuvent garder les enfants a midi ,mais c'est très cher de payer le repas et les auxiliaires  qui s'occupe des enfants après l'école ,tout est à la charge des familles  (mais les devoirs sont  fait et corriger :)).
autre problèmes  les femmes sont des études ,et ne veulent plus rester à la maison torcher le cul des gosses .  jean  luc ;)

Allemagne : les patrons paieront plus cher

le dumping social dans les abattoirs outre-Rhin

A trois semaines des élections législatives, ils se réveillent. Les géants de la viande allemande sont prêts à négocier un salaire minimum. Aujourd'hui, dans leurs abattoirs, plus de deux tiers des ouvriers - soit 25 000 personnes selon les syndicats - sont étrangers et payés une misère : entre 3 et 5 euros de l'heure. En plus de l'absence de salaire minimum, les mastodontes du secteur s'arrangent avec le droit européen et confondent volontairement travailleur détaché avec travailleur temporaire. Au lieu d'offrir un contrat de travail allemand, ils soumettent leurs ouvriers au droit de leur pays d'origine, moins-disant pour le salarié et plus rentable pour l'employeur. Résultat : un dumping social décrié par les pays voisins, à commencer par la France qui a menacé, en juin, de porter la question devant le Conseil européen. Face aux pressions, inquiets de se voir imposer un salaire minimum par Berlin, les patrons de l'agro-alimentaire ont accepté de discuter. Combien seront-ils prêts à payer ? Pour les syndicats, c'est 8,5 euros de l'heure. Minimum. http://www.liberation.fr/economie/2013/ … air_928730

jean  luc ;)