Recherche un emploi en tourisme/hôtellerie/restauration

Bonjour Vickie!

Vous devriez peut-être poster une annonce dans la rubrique emploi des petites annonces Argentine.
Cela pourrait aider

Bonne chance
Armand

Bonjour Armand,

Oui effectivement c'est mieux la rubrique petite annonce!
Merci pour l'info!

Vickie

Bonjour Vickie,

Vivant ici depuis 2003 et connaissant bien la vie ici, voici quelques commentaires/conseils :

Je doute que tu puisses trouver depuis la France, et aussi longtemps à l'avance, un tel boulot au noir.
Je pense que tu auras plus de chances de trouver un boulot comme serveuse ou dans un petit hôtel.
Une fois sur place, tu pourras aller dans des quartiers touristiques et démarcher des bars/restos en direct.

Niveau rémunération, de tels emplois sont assez mal payés : tu gagneras probablement un salaire oscillant entre 1 500 et 2 500 pesos. Ce qui n'est pas bien lourd compte-tenu du coût de la vie qui ne cesse de croître. Si tu prends un appartement en colocation, tu devrais pouvoir vivre ainsi mais sans aucun luxe/extra.

Du reste, l'Argentine est un pays magnifique et tu mettrais toutes les chances de ton côté si tu as un projet d'activité indépendante (par ex. si tu peux travailler à distance en étant payée en USD ou en EUR. C'est ce que je fais et cela me permet de vivre très confortablement avec baraque, jardin, piscine, voyages, etc.).

N'hésite pas si tu as besoin de conseils !

Cordialement

Antoine

Bonjour,

Antoine P, il me semble que tu ne lui donnes pas une info TRES importante.. Comment va t elle obtenir un visa de travail pour ce type d'activités ??
Le visa travail est subordonné au fait de travailler pour une entreprise locale habilitée à employer des étrangers ou faisant les démarches pour obtenir l'habilitation.. Cela suppose que l'entreprise présente notamment ses bilans et justifie des impôts payés depuis 3 ans... et de nombreuses démarches administratives que peu d'entreprises (sauf les grosses) veulent faire..
En plus l'entreprise doit justifier par la production des diplômes et de l'expérience du futur salarié qu'elle ne trouve pas d'équivalent sur le marché local..
Dans ce genre d'emploi, les chances d'obtenir un visa sont nulles..
Reste le visa investisseur.. pour lequel il faut investir ici 300.000 euros.. sinon, l'emploi indépendant dont tu parles, c'est encore et toujours sans visa de travail, donc obligation de sortir tous les 3 mois du pays et d'y rerentrer, ceci indéfiniment..
Un boulot au noir dans la restauration c'est comme tu le dis très bien 1500 à 2500 pesos comme tu le dis.. si tu comptes une coloc à 1000 pesos, il te reste entre 500 et 1500 pesos pour vivre.. On ne vit pas avec ça en Argentine, même mal.. et ce n'est pas avec les hausses en tous genres et les suppressions de subsidios qui entrent en vigueur aujourd'hui que ça va s'arranger..
Bonne fin de semaine à tous

Bonjour,

Une info TRES importante.. Comment vas tu obtenir un visa de travail pour ce type d'activités ??
Le visa travail est subordonné au fait de travailler pour une entreprise locale habilitée à employer des étrangers ou faisant les démarches pour obtenir l'habilitation.. Cela suppose que l'entreprise présente notamment ses bilans et justifie des impôts payés depuis 3 ans... et de nombreuses démarches administratives que peu d'entreprises (sauf les grosses) veulent faire..
En plus l'entreprise doit justifier par la production des diplômes et de l'expérience du futur salarié qu'elle ne trouve pas d'équivalent sur le marché local..
Dans ce genre d'emploi, les chances d'obtenir un visa sont nulles..
Reste le visa investisseur.. pour lequel il faut investir ici 300.000 euros.. sinon, l'emploi indépendant dont tu parles, c'est encore et toujours sans visa de travail, donc obligation de sortir tous les 3 mois du pays et d'y rerentrer, ceci indéfiniment..
Un boulot au noir dans la restauration c'est comme tu le dis très bien 1500 à 2500 pesos comme on te le di.. si tu comptes une coloc à 1000 pesos, il te reste entre 500 et 1500 pesos pour vivre.. On ne vit pas avec ça en Argentine, même mal.. et ce n'est pas avec les hausses en tous genres et les suppressions de subsidios qui entrent en vigueur aujourd'hui que ça va s'arranger..
Sauf à épouser un argentin ce qui te permettrait d'avoir le visa, ou à avoir des revenus fixes en France de l'ordre de 1500 euros par mois assurés sur 3 ans ce qui te permet d'avoir un visa rentier, je ne vois pas de solution pour toi.
Bonne fin de semaine à tous

DomDom,

À relire le message de Vickie, je n'ai pas l'impression qu'elle soit intéressée par un visa de travail (elle ne sera pas la première à travailler au noir ici du reste).

Du reste, si on parle de visas, etc. : Quelqu'un souhaitant s'établir ici a tout intérêt à privilégier la demande de citoyenneté (elle suppose théoriquement un séjour de 2 ans quelle que soit ta condition migratoire -y compris en restant au delà des 90 jours pour un visa touriste- mais il est possible d'en faire la demande à partir d'une année passée sur le territoire argentin). Viser la résidence est un parcours bien laborieux et bien plus coûteux que de demander la citoyenneté. Il n'est même pas besoin de passer par un avocat pour demander la citoyenneté d'ailleurs (à condition de maîtriser l'espagnol). Délai d'obtention = un an au plus.

Bref, ce n'était pas la question, aussi pour en revenir à Vickie, quand j'écris que tu vivras sans extra/luxe, je rejoins DomDom : tu auras un toit (en coloc), tu pourras te nourrir (40/50 pesos par jour, sans vin ni bière) et puis c'est à peu près tout. Impossible d'économiser pour voyager en France, faire du tourisme ici, etc.
Je suppose que Vickie a moins de 25/30 ans donc cela pourrait aller, mais bien évidemment c'est un style de vie inadapté si tu as + de 30/35 ans.

On est tout à fait d'accord.. Si elle souhaite la citoyenneté, il existe un bon avocat spécialisé à B Aires, Christian Rubilar dont je peux lui donner les coordonnées..
Bonne journée

Bonjour,

Je cherche des informations pour travailler en Argentine comme esthéticienne, j'ai un CAP avec option massages,

Je vous remercie pour votre aide,

Corinne Bonin