Europe : la relation France et Allemagne, mouvementée et indispensable

Bartolone persiste à vouloir une confrontation avec Berlin
http://l1.yimg.com/bt/api/res/1.2/d8Tco6x8UpnXjrXpHJ10qg--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzAwO2NyPTE7Y3c9NDUwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zMDA7cT04NTt3PTQ1MA--/http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2013-06-11T183212Z_1_APAE95A1FHR00_RTROPTP_2_OFRTP-FRANCE-UNION-PS-20130611.JPG Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a réitéré mardi son appel à une "confrontation" avec l'Allemagne qu'il juge responsable des politiques d'austérité dans l'Union européenne, malgré la volonté de l'exécutif de calmer le jeu.

Le quatrième personnage de l'Etat s'exprimait en présence du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg lors d'un colloque organisé à l'Assemblée par la Gauche populaire, un club créé par des députés socialistes.

Ces propos risquent de rallumer les tensions internes au PS à quelques jours d'une convention sur l'Europe où les ailes gauche et droite du PS prôneront des visions divergentes, un an avant des élections européennes pour lesquelles un sondage annonce un score égal pour l'UMP, le PS et le Front national.

Claude Bartolone a estimé que "la première réponse à apporter" pour éviter que l'extrême droite et la droite triomphent l'an prochain à Strasbourg est de "mettre fin à la politique d'austérité" et à la "doxa libérale".lire le reste de l'article  jean  luc ;)

"A berlin, nach Paris", ce sont de vieilles solutions ;)

On dit que l'on a les hommes et les femmes politiques que l'on mérite, curieux de savoir quel mal on a fait pour mériter ceux-là.

Peut-être ne pas avoir su exprimer qu'on voulait dépasser ces vieilles solutions.

Faut dire aussi qu'on avez le choix entre un borgne et un aveugle, l'année derniére, et je ne suis pas des extrémes, je suis devenu apolitique, et futur expatrié normalement, comme beaucoup de mon age, on a plus confiance en l'état français, trop de lobbying, pas assez d'élus experimentés (trop de fonctionnaire carriériste) et un grand manque de courage politique.

ma vérités est simple en France si un politique dit la vérité ,il est battu aux élections ,alors ils fait des promesses à ceux qu'ils veulent l'entendre .
En Allemagne celui qui fait des promesses est battu  car ici le mensonge ne pardonne pas . les allemands disent" les promesses c'est beau ,mais qui payent ?".
Depuis 22 ans que je suis en Allemagne ,les va en guerre français ont toujours fait des déclarations guerrière contre l'Allemagne ,á grand renfort de tambour et trompettes  ,C'est sans effets .   ça me fait penser à un théâtre de guignol . Les hommes ou femmes politiques allemand parlent moins ,et bossent plus et sont plus efficace  ,ils passent pas la moitiés du mandat ,a détruire les lois voter par un autre gouvernement . jean  luc ;)

Sur BFM buisness, les économistes disent que le départ des trentenaires s'accélére, et Bercy dit que cela s'équilibre avec les retours, mais bon, ils ne donnent pas les vrais chiffres: et à Paris, les apparts mise en ventent sont en augmentation

Bercy se base sur les chiffres des consulats qui sont faux l'inscription n'étant pas obligatoire officiellement on est 111 000 en Allemagne ,officieusement on approche les deux cent milles . Il y a de plus en plus d'expat dans le monde plus de 2 millions officiellement et ce chiffre augmente d'année en année . Le problème de la haute administration française est de faire plaisir au ministre avec de beau rapport comme le souhaite le ministre .
jean  luc ;)

L'Allemagne est depuis plusieurs années l'eldorado des jeunes Européens en matière d'emploi ; avec une population qui vieillit plus vite que prévu, le pays manque de cerveaux. D'ici à 2020, un million et demi de postes seront à pourvoir. Scientifiques, commerciaux, personnels de santé et auxiliaires d'éducation et de vie sont les professions les plus sinistrées. Alors l'Allemagne recrute hors de ses frontières. http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2013/06/26/1042451/images/ressource/1482BC00D28FB869.jpg
L'Allemagne a lancé l'an dernier une campagne, "Make it in Germany", initiée par le gouvernement lui-même . Ce "Fais-le en Allemagne" incite les jeunes Européens à venir faire fructifier leur diplômes outre-Rhin. Et comme la natalité allemande est en berne...

La section "étrangers" de l'agence pour l'emploi recrute même sur place, elle organise des voyages d'information et des salons de recrutement avec les employeurs en Espagne et en Grèce, où un jeune sur deux est au chômage, en Italie et au Portugal où cela touche un jeune sur trois.

Et les jeunes Français, dont un quart est sans emploi, prennent aussi le chemin de l'exil. Le salon Eurojob Consulting organise lui aussi deux fois par an des salons de recrutement franco-allemand pour des jeunes Français diplômés.
Un mirage ?

Mais attention, pas question de venir en Allemagne si on ne maîtrise pas la langue ; même si dans certaines entreprises l'anglais est la langue de travail, il faut que le salarié puisse s'intégrer. Attention aussi au miroir aux alouettes que constitue la capitale allemande Berlin et ses start-ups où l'on peut parfois être payé quelques euros de l'heure.

Le chômage des jeunes n'est donc pas le problème d'une Allemagne en mal de cerveaux, mais elle a tout intérêt à soutenir toute intiative européenne en la matière, comme celle dont il sera question à Bruxelles lors d'un sommet européen ce jeudi. Pour l'instant, en tout cas, elle est la bénéficiaire d'une main-d'oeuvre qualifiée dont la formation a été entièrement assumée et financée par ses voisins.
http://www.franceinfo.fr/economie/le-pl … 2013-06-27
jean luc ;)

j'attire votre attention sur cette partie du texte ,ou je suis d'accord  Mais attention, pas question de venir en Allemagne si on ne maîtrise pas la langue ; même si dans certaines entreprises l'anglais est la langue de travail, il faut que le salarié puisse s'intégrer. Attention aussi au miroir aux alouettes que constitue la capitale allemande Berlin et ses start-ups où l'on peut parfois être payé quelques euros de l'heure.

Même si l'allemagne est loin d'être un eldorado, dans un pays en crise démographique avec une économie libérale, il y a, à coup sur, des opportunitées à saisir, aprés, aux candidats de les saisir. Mais bon, financiérement, ce n'est pas les cités d'or, mais coté expérience professionel, c'est une richesse.

tu a raison ,mais pour ça il faut avoir les bons outils ,le bon diplôme ,et une maîtrise assez rapide de la langue .ce qui pas toujour le cas sur le forum . jean luc ;)

PS ton projet oú tu en est?

Salut Jean Luc

Ma ferme est vendu normalement pour la fin d'année, et je prévois prendre des cours d'allemand à la goethe institut de Lille en 2 séssions (d'octobre à février, 2 h/semaines et fin février 3 h/s pdt 5 jrs) pour avoir les bases, cela me laisse du temps pour finir mon astronomique paprasserie française, perfectionner mes cours et preparer ma recherche d'emploi. J'ai tapé "herdenmanager", il y a réguliérement des offres mais malheureusement pour moi, générallement en basse-saxe, ce qui ne m'étonne pas. Je concentre ma recherche entre constance et hannovre.

oui rien d'anormal ,il y a beaucoup d'élevage .  jean  luc ;)

Les jeunes Français et l'Allemagne: «J'ai découvert un pays fascinant et un peuple accueillant»
http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2012-05/2012-05-16/article_merkhollande.jpg
Vendredi, l'Office franco-allemand pour la jeunesse célèbre le 50e anniversaire de sa création.

Depuis 1963, cette institution a pour mission d'encourager les relations entre les jeunes des deux pays, via des échanges scolaires et universitaires, des cours de langue, des jumelages de villes et de régions, des rencontres sportives et culturelles.

Plus de huit millions de jeunes Français et Allemands ont participé à environ 300.000 programmes d'échange depuis la création de l'Ofaj.

Mais l'Allemagne fait-elle vraiment rêver les jeunes Français? Nos internautes témoignent...

«Le système universitaire est fabuleux»

Sommer conseille vivement aux jeunes Français de tenter leur chance en Allemagne. «Ce pays, avec sa culture, son peuple sont de vraies richesses. On a tout à apprendre d'une expérience à l'étranger.»

En galère de travail depuis six mois, c'est d'ailleurs une société allemande qui vient de lui faire confiance, en lui offrant son premier vrai travail.lire le reste de l'article

   jean  luc ;)
PS: article intéressant ,il y a les pour ,les contres ,par contre les uns ou les autres sont peut être excessif dans leurs témoignages ,a vous de faire la part des choses vous même .

L'office est vraiment un organisme que j'apprécie. La fois où j'ai utilisé leur site pour chercher une jeune fille au pair, je me suis rendu compte qu'ils étaient un catalyseur entre de nombreux jeunes et familles.

a part les milieux franco-allemand ,il est pas très connus .Dommage ,mais il fait un bon boulot.  jean  luc ;)

Dépenses sociales : l'Allemagne renâcle à rembourser la France Sur deux ans, Berlin a cumulé une dette sanitaire de plus de 220 millions d'euros à l'égard de l'Hexagone, conséquence de la prise en charge des soins de santé prodigués aux travailleurs d'outre-Rhin.
Les mauvais payeurs ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Lorsqu'il s'agit de régler les factures de ses résidents soignés en France, l'Allemagne n'est pas des plus diligentes. Sur les années 2011 et 2012, le pays a cumulé 226,1 millions d'euros d'impayés, selon les données publiées par le Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss) dans son rapport annuel rendu public le 5 juillet. En moyenne, les deux tiers des factures sont restées en souffrance. « Avances de trésorerie très lourdes » Dans l'Union européenne, le principe veut que tout citoyen (touriste, travailleur, étudiant…) puisse avoir accès aux soins de n'importe quel pays, grâce à une coordination des caisses d'assurance maladie. Ainsi, un actif français ou allemand vivant dans l'Hexagone mais travaillant outre-Rhin sera dans un premier temps pris en charge par la sécurité sociale française en cas de maladie, d'accident ou d'opération. Celle-ci règle les frais, mais réclame a posteriori d'être remboursée par son homologue d'outre-Rhin. Problème, les versements allemands arrivent au compte-goutte. Quand ils arrivent. « Aucune nouvelle discussion n'est intervenue entre les autorités compétentes des deux pays pour accélérer les paiements ou obtenir le paiement d'acomptes et la France accorde toujours des avances de trésorerie très lourdes », fait remarquer le Cleiss. Un point absent de l'ordre du jour du grand raout à Berlin deux jours plus tôt, où la chancelière Angel Merkel a appelé à « plus de mobilité en Europe », pour sortir les jeunes de l'impasse du chômage. Le cumul des impayés allemands n'est pas nouveau : « Le problème existe depuis une dizaine d'années », fait-on savoir au Cleiss. Conséquences d'un système décentralisé Une mosaïque de raisons explique ces blocages. Contrairement au système français centralisé, le régime allemand de santé repose sur une multitude de caisses d'assurance maladie décentralisées. « On a du mal à identifier la caisse responsable » au moment du traitement des dossiers, avoue-t-on côté français. Et quand la bonne structure est repérée, l'administration allemande se montre « tatillonne », multipliant les va-et-vient avec l'Hexagone pour s'assurer qu'elle doit bien régler la créance. Avec la crise, de plus en plus de salariés partent tenter leur chance ailleurs, multipliant les changements de régime auxquels ils cotisent. D'où les contrôles resserrés pratiqués outre-Rhin, où une caisse retoquera facilement une demande de remboursement de soins si elle repère que le salarié ne fait plus partie de ses affiliés. « Tout cela prend beaucoup de temps », résume-t-on au Cleiss. La Grèce « n'a rien réglé » En matière de dépenses de santé, l'Allemagne n'est pas le seul Etat débiteur à l'égard de la France. Le Royaume-Uni et les pays d'Europe du Sud enlisés dans la crise enregistrent des retards de paiement importants. En Grèce, le constat est sans appel : « La situation reste la même que les années précédentes dans la mesure où ce pays n'a rien réglé en 2012. » Certaines créances « portent sur des années très anciennes », remarque l'organisation publique. Les Etats italien et portugais cumulent chacun une dette d'environ 50 millions d'euros à l'égard de la France. L'Espagne fait quant à elle l'objet de remontrances de la part de Bruxelles, qui apprécie peu de voir les hôpitaux espagnols refouler les touristes étrangers détenteurs de la carte sanitaire européenne, censée leur éviter les avances de frais. En 2012, la France s'est acquittée de la quasi-totalité des factures, soit 470 millions d'euros. Mais ce n'est qu'une part subsidiaire des transferts sociaux. En 2011, le pays a engagé près de 6,6 milliards d'euros de dépenses au titre des prestations versées à l'étranger. 90 % de cette somme est absorbée par les pensions et retraites complémentaires.

Source : http://www.euractiv.fr/social/depenses- … 19877.html
Copyright © EurActiv.fr  jean  luc ;)


Ps: une seule solution que la France refuse de prendre en charge le goûts des soins pour les étrangers dont le pays posent problèmes ,c'est pas humain  c'est vrais ,mais cet solution est efficace .

Mercedes : le ton monte entre la France et l'Allemagne
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/07/26/PHO6bffe064-f60b-11e2-b998-cc0e5cb5deae-805x453.jpg
Alors que la justice française a donné raison au constructeur allemand, le ministère de l'Ecologie a décidé de ne pas se conformer à ces exigences. Le ton monte entre la France et l'Allemagne.
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La France a annoncé aujourd'hui qu'elle continuerait à interdire l'immatriculation de certains modèles Mercedes produits par Daimler malgré une décision de justice en faveur du constructeur allemand, qui refuse d'utiliser un nouveau fluide réfrigérant conforme au droit européen.

La Commission européenne avait décidé en 2006 d'imposer aux constructeurs automobiles d'utiliser des fluides de climatisation de nouvelle génération en vue de limiter les émissions de gaz à effet de serre. La directive est applicable en France depuis le 1er janvier. «Daimler/Mercedes a décidé de ne pas se conformer à ces exigences», souligne dans un communiqué le ministère de l'Ecologie qui rappelle avoir décidé d'interdire l'immatriculation des véhicules concernés le 19 juin. lire le restede l'article  jean  luc  ;)

La France, championne des dépenses sociales
INFOGRAPHIE - Elles augmentent fortement ces dernières années, alors qu'elles baissent en Allemagne, relève l'OCDE.
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Famille, retraite et bientôt dépendance. Alors que le gouvernement enchaîne les réformes, la France aura engouffré cette année exactement un tiers (33 %) de sa richesse en dépenses sociales, relève dans ses dernières prévisions l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Un record mondial que personne ne lui dispute.

Le pays conserve quelques longueurs d'avance sur le Danemark (30,8 % de son produit intérieur brut, ou PIB) et la Suède (28,6 %). Dans le même temps, les Allemands n'auront dépensé qu'un peu plus d'un euro sur quatre en la matière, et les Américains, un dollar sur cinq. Des niveaux bien plus proches de la moyenne des pays développés.
L'exemple allemand

En France, en plus du niveau record des dépenses sociales, c'est la vitesse à laquelle elles progressent qui marque les esprits. Entre 2009 et 2013, les dépenses rapportées au PIB auront augmenté de 2,9 %. En clair, elles sont allées bien plus vite que la croissance. La faute, notamment, à la crise qui se prolonge et qui ne cesse de faire gonfler le nombre de bénéficiaires des prestations (RSA, allocations chômage, etc.).

En comparaison, «l'Allemagne contrôle mieux ses dépenses sociales», relève Willem Adema, spécialiste des politiques sociales à l'OCDE. Rapportées au PIB, elles ont été réduites de 5,8 % entre 2009 et 2013. Au passage, la première puissance économique du Vieux Continent se retrouve aux côtés de la Grèce (- 8 %), de la Hongrie (-9,8 %) ou de l'Irlande (- 8,5 %). Autant de pays en profonde crise économique qui n'ont eu d'autre choix que de sabrer dans les dépenses publiques pour éviter la banqueroute.lire le reste de l'article

jean  luc ;)

commentaire Celas est du ,en grande partie par la politique nataliste de la France 2 enfants par femmes française ,contre 1;4 pour les allemandes avec ça on peut faire des économies 

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Climatisation : l'Allemagne en froid avec Bruxelles

Le Point.fr - Publié le 09/08/2013 à 07:02 - Modifié le 09/08/2013 à 12:06
L'agence allemande de l'auto demande à Bruxelles d'enquêter sur l'affaire Mercedes et la mise en cause du nouveau gaz réfrigérant.
http://www.lepoint.fr/images/2013/08/09/classe-a-1792537-jpg_1633251.JPG

Inéluctablement, on s'achemine vers un arbitrage politique dans ce qu'il faut désormais nommer "'l'affaire du gaz R1234yf". Ce mauvais titre de série B, qui oppose Mercedes à la réglementation européenne sur le nouveau gaz de climatisation des automobiles, a connu jeudi un nouveau rebondissement L'agence fédérale allemande pour l'automobile (KBA) a en effet demandé à la Commission européenne d'enquêter sur le nouveau gaz réfrigérant homologué dans l'UE. Une démarche bien tardive alors que depuis le 12 juin la France a décidé de bloquer la vente des Mercedes de dernière génération qui auraient dû l'utiliser réglementairement et qui, pour des raisons de sécurité, sont revenues à l'ancien gaz utilisé par toutes les voitures des générations antérieures..

La KBA, chargée de l'homologation et de la sécurité des véhicules en Allemagne, est capitale, car elle ne laisse plus Mercedes seul dans son plaidoyer face à Bruxelles. Mercedes prétend en effet avoir constaté, lors de crash-tests, des départs de feu qu'elle attribue au nouveau gaz. D'où sa volonté de ne pas l'utiliser. Mais contre toute attente, alors que la mentalité allemande privilégie le consensus et l'action commune, qu'au surplus les constructeurs du pays mais aussi d'Europe disposent d'organisations représentatives, Mercedes a décidé de plaider seul son dossier. La réaction de la KBA brise cette solitude, même si la contre-attaque est pour le moment feutrée.lire le reste de l'article
jean  luc ;)

PS: L'Allemagne devrais brandir la menace d'une interdiction d'importations des voitures françaises équiper de ce gaz ,au nom de la sécurité  des allemands ,C'est hypocrite ,mais de bonne guerre .

L'Allemagne et la France divergent plus que jamais en matière économique http://www.lefigaro.fr/medias/2013/08/14/PHOf8e4c092-04c2-11e3-9743-35034e88d65e-805x453.jpg
La croissance a atteint 0,7 % outre-Rhin au deuxième trimestre 2013, soit un rythme annualisé de 2,8 % avec d'importantes créations d'emplois et une forte reprise de l'investissement. Jamais les contrastes économiques et sociaux n'ont été aussi nets dans le couple franco-allemand.
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Les deux principales économies de la zone euro font la course en tête. Alors que l'Insee annonçait que la France a renoué avec la croissance au deuxième trimestre 2013 où le PIB a progressé de 0,5 %, l'Allemagne a affiché une augmentation de 0,7 %, également plus forte que prévu.

Contrairement à son homologue français, Destatis n'a toutefois pas donné de précisions chiffrées quant aux différentes composantes de cette croissance. L'Institut allemand s'est contenté de fournir des indications qualitatives qui sont toutefois fort précieuses. Selon lui, tous les moteurs se sont désormais rallumés outre- Rhin. Et c'est une énorme différence, alors qu'en France la réanimation de l'économie s'explique essentiellement par un rebond de la consommation des ménages (de 0,4 %) et par un énigmatique redressement des stocks des entreprises, représentant à lui seul 0,2 % du PIB.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

L'Allemagne exclut d'intervenir militairement en Syrie
http://s1.lemde.fr/image/2012/02/07/534x267/1639765_3_8800_on-ne-nous-a-pas-demande-une-telle_8fa46c5ff7a4d5d86928941cae51c9a6.jpg
Le ministre des affaires étrangères allemand, Guido Westerwelle, a exclu officiellement une participation allemande à une intervention militaire en Syrie."On ne nous a pas demandé" une telle participation et "nous ne l'envisageons pas", a-t-il déclaré au quotidien régional allemand Neue Osnabrücker Zeitung, dans un entretien à paraître samedi 31 août. Une position confirmée par Steffen Seibert, le porte-parole du gouvernement, lors d'un point presse.

L'Allemagne avait annoncé lundi son soutien à une "action" de la communauté internationale. Mais Berlin avait jusqu'ici laisser planer le doute sur une éventuelle participation allemande, même a minima. "Nous insistons pour que le Conseil de sécurité des Nations Unies parvienne à une position commune et que le travail des inspecteurs de l'ONU soit terminé le plus rapidement possible", a déclaré M. Westerwelle, dans son entretien à paraître samedi. lire le reste de l'article  jean  luc ;)

PS: très bonne décision ,la guerre ne résoudras rien .

Mercedes : le Conseil d'État met fin au contentieux franco-allemand
http://img4.autodeclics.com//images/content/big/les_classe_a_et_b_de_nouveaux_immatriculables_en_france.jpg
Les Mercedes Classe A, B, CLA et SL vont pouvoir être réimmatriculées dans l'Hexagone, après la décision du Conseil d'État de donner raison au constructeur allemand dans le contentieux qui l'opposait à la France.

Bloquées depuis plus de deux mois et demi par le gouvernement au motif que Daimler enfreignait une directive européenne sur les fluides réfrigérants, les immatriculation de certaines Mercedes parmi les plus vendues en France vont pouvoir reprendre. Le juge des référés du Conseil d'État a en effet suspendu ce mardi cette décision, contestant la raison écologique invoquée par la France. "La mise en circulation des véhicules concernés […] ne peut être regardée, en l'état de l'instruction, comme étant de nature, par elle-même, à nuire gravement à l'environnement", a déclaré le juge.

En attendant la décision définitive du Conseil qui ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois, l'État devra dans les deux jours reprendre les immatriculations des Mercedes concernées, mais aussi verser un dédommagement de 3 000 euros à Mercedes-Benz France. La branche française du constructeur s'est naturellement déclarée satisfaite de ce dénouement. ''Nous sommes ravis que le Conseil d'Etat ait confirmé notre position sur un plan juridique et ait suspendu la décision prise par les autorités françaises de bloquer les immatriculations de nos Classe A, B, CLA et SL, et ce à effet immédiat'', a-t-elle réagi.

Le gouvernement avait fait jouer, en juin dernier, une clause de sauvegarde empêchant l'immatriculation de ces modèles intégrant un réfrigérant de climatisation non homologué par la Commission européenne. Mercedes évoquait alors comme raison de ce choix que ce gaz s'enflammerait plus rapidement que celui moins polluant choisi par l'UE. Depuis, 4 500 modèles de la marque étaient en attente d'immatriculation dans l'Hexagone http://www.autodeclics.com/dossier/4998 … rance.html 
  jean  luc ;)

PS: comme prévu nouvelle débâcle française ,et une de plus .

Oradour-sur-Glane: une enquête menée en Allemagne vise six anciens SS  http://www.lefigaro.fr/medias/2013/09/03/PHO91efda6e-14aa-11e3-b08c-2bcf8da896e2-805x453.jpg
e parquet de Dortmund, qui a rouvert l'enquête sur le massacre des 642 habitants du village par une division nazie, se prononcera dans l'année sur l'éventualité d'un procès.
Les crimes d'Oradour-sur-Glane seront peut-être pas jugés. Paradoxalement, malgré l'horreur du drame, la justice n'a pas encore vraiment réussi à faire son travail. En France, le procès de Bordeaux de 1953 a provoqué la polémique, en condamnant les «Malgré nous» alsaciens incorporés dans la division Das Reich, avant qu'ils ne soient amnistiés.

En Allemagne de l'Ouest, faute de preuves, la justice allemande qui poursuit les criminels nazis n'avait pas été en mesure d'attester du degré de connaissance des soldats présents lors du massacre du 10 juin 1944. Le dossier avait été clos dans les années 1980. C'est seulement en Allemagne de l'Est, en 1983, qu'avait été jugé un officier.

Fin 2010, de nouveaux documents, conservés dans les archives de la Stasi, la police secrète d'Allemagne de l'Est, ont permis à la justice allemande de rouvrir le dossier. «Le sang doit couler», aurait notamment déclaré un SS à l'époque. Pour le procureur de Dortmund, Andreas Brendel, en charge des enquêtes sur les crimes nazis, cet élément était suffisant pour s'interroger sur les responsabilités des six soldats survivants qui pouvaient avoir connaissance des objectifs de leur division.

lire le reste de l'article   jean  luc

A Oradour, la France et l'Allemagne de nouveau main dans la main
http://referentiel.nouvelobs.com/file/6314320-paris-et-berlin-de-nouveau-main-dans-la-main.jpg
Accueil > Politique > A Oradour, la France et l'Allemagne de nouveau main dans la main
A Oradour, la France et l'Allemagne de nouveau main dans la main
Publié le 04-09-2013 à 19h41 - Mis à jour à 23h01
Julien Martin
Par Julien Martin
François Hollande et Joachim Gauck se sont recueillis, ce mercredi, au milieu des ruines du village limousin martyrisé par les SS en 1944. De notre envoyé à Oradour-sur-Glane.
Mots-clés : Allemagne, François Hollande, François Mitterrand, oradour-sur-glane, ORADOUR
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François Hollande à Oradour-sur-Glane en compagnie du président allemand Joachim Gauck, à gauche. Ils encadrent Robert Hebras, 88 ans, l'un des derniers survivants du massacre du 10 juin 1944 - 642 morts. (Philippe Wojazer/AFP)
François Hollande à Oradour-sur-Glane en compagnie du président allemand Joachim Gauck, à gauche. Ils encadrent Robert Hebras, 88 ans, l'un des derniers survivants du massacre du 10 juin 1944 - 642 morts. (Philippe Wojazer/AFP)
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    » Oradour-sur-Glane : une nouvelle accolade symbolique

A quoi pense François Hollande devant l'autel de l'église calcinée à l'entrée du village en ruine d'Oradour-sur-Glane ? A quoi pense le président français au côté de son homologue allemand, Joachim Gauck, face à l'ancien vitrail par lequel s'est échappée la seule rescapée des deux cents femmes et autant d'enfants martyrisés le 10 juin 1944 par une division de la Waffen SS ? Pense-t-il à François Mitterrand et Helmut Kohl, main dans la main en 1984 à Verdun ? Pense-t-il à d'autres enfants plus récemment massacrés, les enfants syriens ?

Quand, soudain, Gauck interrompt leur recueillement pour désigner l'armature métallique d'une poussette qui n'a pas échappé aux flammes. Ils scrutent la même horreur mais leur regard ne se croisent pas. Ce sont leurs mains qui vont se rapprocher, s'effleurer, comme irrémédiablement attirées, pour finir par s'agripper. Hollande-Mitterrand et Gauck-Kohl se touchent et se tournent vers un troisième homme ému aux larmes.
Jamais un dirigeant allemand n'avait été convié à Oradour

Robert Hébras est l'un des cinq hommes du village, sur deux cent cinquante, qui parviendront à s'enfuir d'une des sept granges transformées en charniers par les nazis. A 88 ans, il revit une énième fois le drame, son drame. Ses lunettes ne dissimulent pas sa douleur. Hollande lui prend le bras, Gauck passe sa main par-dessus ses épaules. Ils se donnent tous trois une accolade en cercle avant de parvenir à sortir de l'église.  lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Une comparaison industrielle France-Allemagne : pourquoi un tel déclin relatif ?
LE CERCLE. Sur longue période, alors que la France se désindustrialise en termes d'offre industrielle, perd des parts de marché mondial du fait d'un appareil exportateur faible en "grosses" PME, se positionne sur le moyen de gamme et est très sensible à la variation de son taux de change effectif réel (euro à compter de 2000), l'Allemagne offre un tableau presque inverse.
Les comparaisons France-Allemagne sur la période 1995-2012 se présentent comme suit :

Désindustrialisation

L'emploi manufacturier en pourcentage de la population totale est passé en Allemagne de 24 % à 19 % contre respectivement 17 % et 12 % en France. On sait plus globalement par ailleurs qu'en 37 ans (1980-2007), la France a perdu 36 % de ses effectifs manufacturiers, soit de 5.3 millions à 3.4 millions en 2007 ou encore une destruction nette de 1.9 million de salariés, dont 1.5 million au titre de "l'outsourcing" (tertiarisation de l'emploi industriel). Alors que la valeur ajoutée de l'industrie par rapport au PIB est resté stable sur la période outre-Rhin (21 %), cette part s'inscrit sur un trend baissier en France (de 15 % à 12 %), après avoir culminé en 1980 à 24 % du PIB national, date ou notre pays était en droit d'attendre une convergence d'avec les performances allemandes.

Pertes de part de marché mondial

L'Allemagne conserve sa part de marché globale sur la période de 11 % à 10.5 % alors que le décrochage français est massif : de 6.2 % à tout juste 4 %.

Coûts salariaux unitaires (CSU)

Entre 2002 et 2012, les salaires horaires bruts ont crû de 23 % en Allemagne, soit un chiffre inférieur à la progression de la productivité apparente du travail, le chiffre s'inscrit à 38 % pour la France. Néanmoins, il n'y a pas de divergences notables dans les CSU en niveau. Ils sont de 33.1 en euros en 2010 en Allemagne contre 34.2 en France. Entre 1993 et 1995, l'Allemagne a réfléchi au "Standort Deustchland " (ou comment préserver l'attractivité internationale du territoire allemand après la réunification), vaste exercice collectif qui a rassemblé l'ensemble des parties prenantes (églises comprises).

L'un de ses résultats est d'avoir facilité la maîtrise des coûts salariaux unitaires. Dans la même veine, les réformes du marché du travail (réformes Hartz I, II, III) adoptées par le gouvernement Schroeder entre 2003 et 2008 – période où le taux de chômage allemand était supérieur à son homologue français – ont visé à libéraliser considérablement les règles antérieures prévalant sur le marché du travail et à modérer l'inflation salariale outre-Rhin (absence de SMIC, prévalence donnée aux contrats "courts" [CDD, intérim, stages…]).



À l'inverse la profitabilité des exportations diverge de 30 points entre les deux pays. En base 100 en 1995, la marge brute des exports décline de 15 % en variation 1995-2012 en France, contre l'exact opposé en Allemagne (+15 points). Une telle divergence de comportement tient au positionnement en gamme des deux pays. Les performances exportatrices de notre pays sont directement corrélées avec l'évolution du taux de change effectif réel, alors que l'Allemagne est franchement price-marker au sein de l'environnement international. Notre pays enregistre donc un gros handicap de profitabilité de ses exports, qui n'est pas compensé par des avantages comparatifs en termes de compétitivité hors coûts et hors prix (qualité, notoriété des produits, efficacité dans l'organisation des réseaux de distribution…) lire le reste de l'article  jean  luc ;)

@Jean-Luc à propos des Mercedes
Salut Jean-Luc,
Tu ne crois pas que 3000 euros de dédommagement pour 4000 bagnoles bloquées est un peu faible ? Et si les deux dossiers (Ardoise de frais médicaux et chicaneries sur les Mercedes) étaient liés ?

pour Mercedes ,le plus important c'est la victoire politique remporter sur le gouvernement français car la décision du gouvernement français étais une décision politique diriger contre le gouvernement allemand ,encore en plus personne n'a démontrer que Mercedes avait tord . moi je commence à me poser des questions sur le gouvernement Holland . Quand aux  3000€ c'est symbolique ,mais quelle symbole .  bonne  soirée jean  luc ;)

Comment les Européens voient l'Allemagne http://s1.lemde.fr/image/2013/09/11/534x267/3475767_3_44fa_une-affiche-de-campagne-d-angela-merkel-a_998d6e89531707f243ee3affe9eda737.jpg

Efficaces, organisés et gagnants. Ou bien arrogants, dominateurs et autoritaires. Sauveurs du projet européen. Ou bien tourmenteurs impitoyables de quiconque vit au sud de la "ligne des oliviers". Dès qu'il est question des Allemands, les Européens sont, semble-t-il, profondément divisés. Pour certains, la zone euro se serait effondrée si l'Allemagne n'avait pas fermement tenu la barre. Pour d'autres, des dizaines de millions d'Européens du Sud connaîtraient un destin meilleur s'ils n'avaient pas subi son emprise.

Dans la perspective des élections allemandes, dont l'issue aura un impact décisif sur le reste du continent, le Guardian et plusieurs journaux partenaires dans trois des principaux pays européens ont interrogé leurs lecteurs sur la vision qu'ils ont du rôle dirigeant de l'Allemagne dans la crise de la zone euro, et sur l'élection elle-même. L'enquête a suscité des réactions étonnamment nombreuses et permis d'exprimer des sentiments visiblement refoulés depuis trois ans. En quelques heures, plus de 7 000 lecteurs ont répondu, ce qui en fait l'un des exercices participatifs les plus prolifiques de notre lectorat.

Par la nature auto-sélective des interventions, ce type d'enquêtes n'a guère de valeur statistique. Mais entre les plaisanteries, l'hostilité et les inévitables commentaires mal embouchés de gens cachés derrière des pseudonymes tels que Ernst Stavro Blofeld ou Philip Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, un certain nombre de tendances convergentes peuvent être relevées. Ainsi dans l'enquête espagnole, la tonalité des réactions est largement négative. lire le reste de l'article
jean  luc ;)

Éducation: la France dépense trop pour des résultats médiocres.
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/09/11/PHO02681b66-1ae2-11e3-9cd6-ee50e3c5a5a6-805x453.jpg
Masse salariale, agents administratifs, nombre d'écoles : selon une étude de l'Ifrap, la France consacre 30 milliards de plus que l'Allemagne et le Royaume-Uni à ce secteur.



Dans une note inédite et coup de poing, la fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (Ifrap), un think-tank classé à droite, frappe fort en décidant de s'intéresser aux raisons pour lesquelles la France dépense tous les ans «30 milliards de plus» que le Royaume-Uni et l'Allemagne pour ses écoles, ses collèges et ses lycées. Si la fondation a comparé ces trois pays, c'est parce qu'ils comptent environ le même nombre d'élèves scolarisés (10,5 millions) et parce qu'ils obtiennent à peu près les mêmes résultats dans Pisa, une enquête internationale menée tous les trois ans auprès des jeunes de 15 ans et destinée à évaluer leurs «compétences» scolaires dans diverses disciplines.

La dizaine de personnes qui ont travaillé avec l'Ifrap pour réaliser l'étude ont identifié trois principaux surcoûts. Le premier, c'est la masse salariale des professeurs: de l'ordre de 10 milliards de plus par an en France, notamment parce que l'Hexagone compte 126.000 professeurs de plus qu'en Allemagne et 300 000 de plus qu'au Royaume-Uni. «Nos professeurs sont certes moins bien payés qu'en Allemagne, mais beaucoup plus nombreux, ils donnent moins d'heures de cours et leurs pensions sont aussi plus chères», détaille Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation.

Le deuxième facteur de surcoût est moins connu. Là où la France compte 350.000 personnels administratifs payés sur fonds publics travaillant dans le secteur éducatif (cantine, entretien, administration des établissements, etc.), l'Allemagne en compte 87.600 et le Royaume-Uni 106.100. Le Royaume-Uni compte toutefois davantage d'assistants d'éducation pédagogiques que la France…
«Très fort monopole étatique»

Le ministère français est légèrement plus fourni en personnel que les autres: Rue de Grenelle, on compte 3143 agents, contre 2780 au Royaume-Uni. L'État fédéral allemand n'en compte certes que 900, mais, faute de données, l'Ifrap n'a pas pris en compte les personnes responsables de l'éducation dans les Länder (régions) alors que ce pays est fortement décentralisé.

Le dernier facteur de surcoût, c'est le nombre d'établissements scolaires. La France en compte 48 984, hormis les maternelles, contre 32 803 pour l'Allemagne et 29 955 pour le Royaume-Uni. Cette situation peut s'expliquer par la plus faible densité de population en France. Mais pour l'Ifrap, le surcoût est lié au très grand nombre d'échelons locaux (communes, départements, régions) qui s'entrechoquent avec l'État déconcentré: académies et inspections d'académie. Ainsi, si on compte 36.800 intervenants dans la politique éducative en France, ils sont moins de 12.000 en Allemagne et 4500 au Royaume-Uni.

    Le nœud du problème, c'est «moins la rationalisation des moyens que l'absence de choix opéré entre décentralisation assumée et tentation de recentralisation»
    Fondation Ifrap

La gestion éducative de ces trois pays est en effet très différente. L'Allemagne et le Royaume-Uni privilégient une gestion locale, alors que la France «maintient un très fort monopole étatique sur l'enseignement national», rappelle l'Ifrap. Pour la fondation, le nœud du problème, c'est «moins la rationalisation des moyens que l'absence de choix opéré entre décentralisation assumée et tentation de recentralisation». Les régions françaises sont notamment en charge du foncier et de l'entretien des lycées, des personnels ouvriers et de service, les départements s'occupent de l'entretien des collèges, des transports ; les communes, des écoles primaires. Au fur et à mesure des différentes vagues de décentralisation, elles ont multiplié les services de gestion pour assumer ces nouvelles responsabilités, mais elles n'ont aucun contrôle sur le recrutement des enseignants.
infographie effectifs du systeme scolaire francaishttp://www.lefigaro.fr/assets/infographie/print/1fixe/201337_comparaison_systemes_scolaires.png

«Dans les faits, on assiste à un véritable écheveau inextricable de services à tous les niveaux», affirme l'Ifrap. Entre autres exemples, la note évoque les «nombreuses missions qui se greffent sur les directions au ministère, souvent en parallèle de leurs services (mission rythmes scolaires, mission éducation prioritaire, etc.), sans compter les futurs conseils des programmes ou de l'évaluation» ou encore «les services déconcentrés en charge de la formation dans les rectorats que l'on retrouve doublonnés dans les régions.» Et les auteurs de l'étude se demandent aussi en quoi une direction des relations internationales et européennes et de la coopération a-t-elle une utilité, alors que le Quai d'Orsay pilote la plupart des actions éducatives à l'étranger…

L'Ifrap avance des propositions: l'État doit selon elle «assumer la décentralisation du système éducatif vers un échelon plus compétent, comme les communes, qui ­gérerait les questions d'éducation sur leur territoire comme cela se pratique déjà au Royaume-Uni (autorités locales) et en Allemagne (communes)». Cette décentralisation s'opposerait néanmoins à une spécificité française: son très grand nombre de communes, plus de 36.700.

«Il faut limiter cet éparpillement comme cela a été organisé en Allemagne dans les années 1970, avec la fusion des communes et au Royaume-Uni dans les années 2000 avec l'abolition des échelons intermédiaires comme les régions et la promulgation d'un nouveau paysage administratif simplifié». http://www.lefigaro.fr/actualite-france … iocres.php  jean  luc ;)

France-Allemagne, deux conceptions de la puissancehttp://s1.lemde.fr/image/2012/08/24/534x267/1751008_3_2439_la-chanceliere-allemande-angela-merkel-et-le_fa5d6b93c6a98afe87583a7915ba7e7d.jpg

andis que la zone euro est engagée dans une longue convalescence, la crise syrienne met en lumière un nouveau clivage de fond entre la France et l'Allemagne. Cette fois, François Hollande et Angela Merkel ne s'opposent pas sur la meilleure façon de refondre l'union monétaire, mais sur le rôle que doit jouer le Vieux Continent dans le monde.
En butte à des opinions publiques opposées à d'éventuelles frappes ciblées contre Bachar Al-Assad, l'Europe est écartelée entre deux conceptions de la puissance : l'interventionnisme à la française, et le mercantilisme à la mode allemande. Du coup, les Vingt-Huit sont peu audibles, et suspendus à l'indécision américaine. Le réveil est brutal pour un continent obsédé par ses problèmes domestiques depuis le naufrage de la Grèce début 2010, et qui doute comme jamais, après un tel séisme, de son influence internationale.

Le report sine die des frappes punitives, en raison de l'offre russe de neutralisation des armes chimiques syriennes, offre un répit inespéré aux Européens. Mais ne démine pas pour autant la différence d'approche entre Paris et Berlin. Avec Barack Obama, M. Hollande n'exclut pas d'intervenir pour punir l'attaque chimique du 21 août, dont ils accusent le dictateur syrien.

UN ALLIÉ DE POIDS

Le chef de l'Etat a, en Syrie comme au Mali, repris peu ou prou le flambeau de Nicolas Sarkozy. Pour lui, la France et l'Europe doivent s'engager, y compris militairement, pour être entendues. Elles ne peuvent laisser impuni un tel crime, au risque de perdre toute crédibilité après de longs mois d'inaction.lire le restede l'article  jean  luc ;)

« En Allemagne, on ne prend jamais la France en exemple »
http://www.bondyblog.fr/wp-content/uploads/2013/09/Verts1-640x320.jpgTous les regards étaient tournés vers la Bavière, qui renouvelait son parlement ce dimanche, à une semaine du grand rendez-vous de l'élection fédérale. Tom s'est installé quelques jours outre-Rhin afin de prendre la température.

Dimanche 15 septembre dernier avait lieu l'élection du parlement du Land de Bavière. Ceci, à une semaine de l'élection fédérale allemande, le 22 septembre prochain. À 17 heures 30, au siège national du parti des Verts, Die Grünen, la salle est à moitié remplie. On ressent quand même une certaine agitation : les journalistes ajustent leurs caméras, les militants s'activent, les micros sont branchés et l'estrade sur laquelle vont parler les deux dirigeants du parti est installée. Tout ceci dans une salle assez petite, tapissée de vert, dans laquelle il règne une chaleur étouffante. Les bouteilles de bière (bio, évidemment), et les bretzels affluent par dizaines.

Verts2Selon un journaliste du Berliner Zeitung, l'importance de cette élection repose sur le fait qu'elle se déroule une semaine avant que les allemands aient à choisir leur chancelier à l'occasion du Bundestagswahl (élections fédérales). « En réalité, la Bavière ne représente que 12,6 des 80 millions d'Allemands, confie-t-il distraitement en regardant la retransmission d'un match de foot à la télé. On ne peut pas non plus dire que ce Land reflète les opinions politiques partagées en Allemagne. Mais cette élection donne un sacré coup de fouet à la campagne ! ». Selon lui, le résultat le plus intéressant à analyser va être celui des libéraux (Parti libéral démocrate appelé FDP) qui risquent de chuter. « Les Allemands détestent les libéraux, ils vont faire moins de 5 % », dit-il en rigolant. Au même moment, la télé centrale diffuse un sondage selon lequel 78% des Allemands ne seraient pas satisfaits du travail des libéraux.

17h50. Dix minutes avant les premières estimations, la salle se remplie soudainement. Les militants écologistes allemands sont plutôt jeunes. La moyenne d' âge ne semble guère dépasser les 30 ans. La tension est palpable. La plupart des militants écolos espèrent dépasser la barre des 10% dans ce Land, à une semaine de l'élection du chancelier.

18 heures. Les premiers résultats s'affichent sur un écran de taille moyenne situé au milieu de la salle et entouré par une soixantaine de personnes. Le premier réflexe des gens hypnotisés par le petit écran : crier en voyant le score du CSU (Union chrétienne-sociale de Bavière), englobé dans le CDU (Union chrétienne-démocrate d'Allemagne), le parti d'Angela Merkel. 49%, soit une majorité absolue. Lorsque le présentateur télé annonce que les Verts obtiennent 8,5% des suffrages, quelques personnes s'adressent à leurs voisins, mais l'ambiance n'est plus à a fête. Quelques râles de déceptions surviennent même du fond de la salle. En revanche, à l'annonce du score des libéraux (3%), la salle réagit vivement avec des rires moqueurs.

« On s'attendait à avoir plus de 10% »

Malgré cette défaite, un des cinq chefs de bureau du cabinet directeur des Verts, Thomas Lange, m'accorde tout de même une interview. Spontanément, il avouera « je suis un peu déçu du résultat, car on s'attendait à avoir plus de 10%. Enfin pour l'instant, ce n'est qu'un pronostic. Les scores ne sont pas encore définitifs », mais le ton est défaitiste.lire le reste e l'article

jean  luc ;)

Paris espère une "grande coalition" en Allemagne.
  http://l.yimg.com/bt/api/res/1.2/jsx6JHT2Es4ZHCZN1LjyNg--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NTQyO2NyPTE7Y3c9ODAwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD00Mjc7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2013-09-19T110347Z_1_APAE98I0UQG00_RTROPTP_3_OFRWR-ALLEMAGNE-ELECTIONS-FRANCE-20130919.JPG
PARIS (Reuters) - Le gouvernement français attend le résultat des élections allemandes avec la certitude qu'il ne bouleversera pas le cours de la relation entre les deux pays mais marque sa préférence pour une "grande coalition" avec les sociaux-démocrates.

François Hollande, qui avait mené sa campagne présidentielle de 2012 en opposition au gouvernement conservateur d'Angela Merkel, s'est résigné de longue date à voir la chancelière obtenir un troisième mandat et y voit même des avantages, la relation étant désormais apaisée.

Les derniers sondages avant le scrutin de dimanche, qui font peser un doute sur la reconduction de la coalition entre les chrétiens-démocrates et les libéraux, laissent augurer une grande coalition comme celle qui a gouverné l'Allemagne de 2005 à 2009.

Pour Paris, les deux gouvernements sont condamnés à s'entendre, quel que soit le résultat des élections.

"Nous avons une obligation de résultat. Ça ne changera pas fondamentalement la relation de travail", déclare Thierry Repentin, ministre français des Affaires européennes.

"Angela Merkel restera sur ses fondamentaux", souligne-t-on dans l'entourage de François Hollande, où l'on se félicite d'avoir pu construire une relation de confiance avec la chancelière après des débuts pour le moins chaotiques.

A Berlin, on insiste sur le fait que la politique européenne de l'Allemagne ne connaîtra pas de révolution en cas de changement d'attelage sous la houlette de la chancelière.

"On sous-estime la prévisibilité de l'Allemagne sur les dossiers européens", explique un responsable allemand.

QUATRE ANS POUR TRAVAILLER

C'est d'autant plus vrai que ni François Hollande, toujours gêné aux entournures par une majorité divisée sur l'approfondissement de l'intégration européenne, ni Angela Merkel, qui est sous la surveillance de la Cour constitutionnelle de Karlsruhe, n'ont d'appétit pour un grand bond en avant dans ce domaine, estiment des diplomates.

Les deux dirigeants ont désormais quatre ans devant eux, jusqu'en 2017, sans aucune élection nationale dans leurs pays, pour travailler concrètement sur des dossiers.LIRE LE RESTE DE L'ARTICLE  jean  luc ;)

Dans coalisions ou pas ,ça changeras rien ,c'est l'Allemagne le patron avec angéla ,pas la France de François ,dans cet histoire le SPD va encore perdre du terrain entre 1999 et 2009 il a perdu 10 millions d'electeurs

Pour Montebourg, l'Allemagne doit faire profiter l'Europe de ses excédents
Sans être "le banquier de l'Europe", Arnaud Montebourg voudrait que l'Allemagne fasse profiter de ses excédents. "Elle y a un intérêt" explique-t-il ce mercredi 2 octobre sur "Questions d'Info" LCP/FranceInfo/AFP/LeMonde.http://www.bfmtv.com/i/580/290/580x290x737178.jpg.pagespeed.ic.WRQb-agR7F.jpg


Arnaud Montebourg veut plus d'engagements de la part des Allemands. Le ministre du Redressement productif a affirmé ce mercredi 2 octobre que pour la France, "la relance de l'économie européenne pass(ait) par la mise en mouvement des excédents allemands".

"Pour nous , la relance de l'économie européenne passe par la mise en mouvement des excédents allemands", a déclaré Arnaud Montebourg, invité de "Questions d'Info" LCP/FranceInfo/AFP/LeMonde.

"L'Allemagne, a-t-il expliqué, a des excédents. Elle doit maintenant, comme nous nous faisons des efforts parce que nous avons des déficits, en faire profiter toute l'Europe puisque nous-mêmes nous faisons profiter toute l'Europe de nos efforts".

L'Allemagne doit-elle devenir "le banquier de l'Europe ?", lui a-t-on demandé. "Ce n'est pas être le banquier, c'est être coopératif, c'est-à-dire d'équilibrer sa politique par les intérêts de tous. Pourquoi ? Parce qu'elle y a un intérêt direct", a-t-il répondu.

Le ministre du Redressement productif a fait valoir que si l'Allemagne "ne trouv(ait) plus de clients parce que (ces derniers) sont trop ruinés, ou n'ont pas les moyens d'acheter les produits allemands, elle perdra elle aussi".

"Donc, a-t-il dit, c'est une stratégie coopérative avec des gains mutuels". En échange, a dit Arnaud Montebourg, "nous amenons tous les efforts de rétablissement de nos comptes publics".

La France doit monétiser sa dette

Quant à la monétisation de la dette, le ministre a cité l'exemple de la Grande-Bretagne, qui "fait des chèques au Trésor public" et "monétise la dette". "Au lieu de demander des impôts supplémentaires, de la souffrance aux entreprises, aux ménages".

"C'est ce que nous devrions faire, et c'est ce que nous avons demandé à plusieurs reprises (...) Pourquoi ? Parce que nous avons en France 1.800 milliards de dettes, ce sont les montagnes himalayennes du sarkozysme qui nous ont été léguées sous forme de dettes", a-t-il insisté.

Il a fait valoir que le gouvernement "tent(ait) de desserrer l'étau de la contrainte budgétaire, gagner du temps pour pouvoir éviter les difficultés, laisser repartir la croissance". "Le gouvernement demande à la banque centrale européenne de faire le travail que toutes les banques centrales du monde sont capables de faire", a ajouté le ministre.  jean  luc ;)


commentaires:avant de donner des leçons ,le gouvernement français doit faire :
1) faire la réforme des retraites en mettant les fonctionaires au même niveaux que le privée.
2) de réformer le statut des fonstionaires ,en Allemagne seule l'armée,la police,la justice ,les impôts ,sont des fonctionaires dans les ecoles seule le directeur et son adjoints sont fontionaires ,rare sont les profs 
3)Passer au 40 h ,les entreprises retrouverais leur compétivitée
4) maitrisé le goufre de la sécu ,non en augmentant les impôts ,mais en diminuant les dépenses .
Aprés ça on pourras discuter . Ici on a moins de fonctionaires et ça marche bien
5)interdire le travail le dimanche comme en Allemagne
   

On voit bien que nos destins sont liés et on peut s'en sortir si on joue groupé. Nous sommes sûr d'y perdre si on joue en désordre.
Or, les désaccords sont prompts à apparaître.

oui peut être ,mais on peut pas tout demander au 1er de la classe ,on doit aussi botter les fesses aux mauvais éléves .
La France a plus de fonctionnaires que l'Allemagne car de nombreux emplois ici ne sont fonctionarisé facteur ,prof ,medecin,concierges,cuisiniers ,femme de ménage ,gardien,employés municipaux ,equipement ,etc,etc,ne sont plus  fonctionaire ,pourtant ces gens travaillent pour l'etat ,le land ou les communes ,mais ils sont plus fonctionaires .
ici pas de CMU ,qui côute 1 milliard environ . Pas 90% du salaire pendant 2 ans pour les chômeurs,mais seulement 60%pendant un an . pas 35 h comme en France  ,mais plutot 40h . le surcôute  pénalise la compétivités des entreprises française  donc favorise la montée du chômage . En clair la France n'a plus les moyens de sa politique généreuse .  jean  luc ;)

Tu as bu trop de bière Hartz. Tu en as pris 4 ? :)

cyrilleho a écrit:

Tu as bu trop de bière Hartz. Tu en as pris 4 ? :)


non ,elle est inbuvable cet biére . Quand ma femme á perdu son boulot l'année derniére ,elle c'est dépécher de trouver un job pour pas en boire justement . Mais entre cette biére ,et le peitit lait des aides sociales française ,il y a un juste milieux ,la France ne peut plus dépenser de richesse plus  qu'elle en produit autrement elle devras encore augmenter les taxes ,je pense sincérement que la ligne rouge est dépasser maintenant ,reste á baisser les dépences dont il faut rèformer .  jean  luc ;)

T'inquiéte pas jean luc, ça va arriver, on commence à entendre ça et là que dans le secteur privé qui finance l'état, certains limitent leur travail car  a un certain stade, tu travailles plus pour l'état que pour toi, qui plus est, le travail au noir revient en force, et les combines pour contourner la taxation commencent à être légion. La courbe de Lafairr (désolé pour l'orthographe) est franchi depuis longtemps. La gauche du PS s'énerve sérieusement car ils n'ont pas de solution à leur dérive dépensiére car hollande est déja plus sérieux que sarko sur le budget, c'est pour cela que l'ump a le bec cloué.

sebast59 a écrit:

T'inquiéte pas jean luc, ça va arriver, on commence à entendre ça et là que dans le secteur privé qui finance l'état, certains limitent leur travail car  a un certain stade, tu travailles plus pour l'état que pour toi, qui plus est, le travail au noir revient en force, et les combines pour contourner la taxation commencent à être légion. La courbe de Lafairr (désolé pour l'orthographe) est franchi depuis longtemps. La gauche du PS s'énerve sérieusement car ils n'ont pas de solution à leur dérive dépensiére car hollande est déja plus sérieux que sarko sur le budget, c'est pour cela que l'ump a le bec cloué.


ce qui m' énerve le plus c'est toujours la faute á l'allemagne .
encore en plus on fait l'almalgame entre déficite plublique et balance commerciale .  jean  luc ;)